mercredi 16 septembre 2015

Ce que nous devons comprendre et ce qu'il nous faut admettre.






Ce que nous devons comprendre et ce qu'il  nous faut admettre ?



Je commencerai par cet aphorisme à l'appellation contrôlée et revendiquée. Mon paraphe faisant foi.

"La vie sociale est une mise en délégation de ce que nous sommes et une perte sans retour de notre souveraineté. Vouloir en discuter, c'est libérer une de ses apories dont on peut s'amuser avant qu'elle ne devienne navrante"

                                                                          Aphorisme 128  annexe IX  M.O.R c.r. 




En 2015, la Grèce  composante de l'union européenne de la première heure, de Maastricht au traité de Lisbonne, une infamie et un déni de légalité, a choisi la voie parlementaire pour régler les questions définitives de son adhésion, traduisant de fait l'exclusion du peuple grec de son prétendu avenir européen. Le résultat actuel est que la Grèce est devenue une terre de grande promesse spéculative à bon compte dont le bon conseiller etasunien Goldmann Sachs a été l'un des grands prêtres. Aujourd'hui la Grèce est terrassée, ruinée et maintenant pillée. Et le Peuple dans tout cela ! Parlons en de ce peuple dont nul autre, européen, ne voudrait partager le sort et dont certains pensent, mal intentionnés et sans discernement, qu’il l’a bien cherché.

Soyons raisonnables. Quel est le français qui revendique l'austérité, le chômage, la corruption etc...? Soyons plus que raisonnables.

Mais le Peuple Grec, n’est ce pas vous, n’est ce pas moi ?  Tout porte à croire que la France, avec d'autres pays dont l'Irlande, le Portugal, l'Espagne et l'Italie,est entrée dans l’œil du cyclone nourri de dogmes dévastateurs.

A quelle mascarade les très inspirés Maurice Schumann et le très pro-américain Jean Monnet nous ont ils conviés dès 1950 et qui, en éminence grise, les a dirigés dans cette très singulière direction, pour reprendre une expression consacrée et très « hooliganienne de luxe » de concurrence libre et non faussée dans un cadre totalement décomplexé de haute voltige du "big business". Aujourd'hui nous sommes sur un bateau à la dérive  avec pour équipage cette monstrueuse troïka dont je rappelle utilement les identités, la CE commission européenne, la BCE banque centrale européenne et invariablement le FMI  fonds monétaire international

Notre réalité, notre quotidien devrais-je écrire, qui s'en soucie ? Il n'a aucune définition européenne de fait, j'accepterai le démenti s'il est vérifiable, si ce n'est la supercherie ou la farce de l'euro, monnaie commune ou monnaie unique et le fameux espace Schengen érigé en leurre à vocation sécuritaire  parmi d'autres. Je vous invite à étudier les dispositions concernant la reconnaissance des diplômes entre la Belgique et la France par exemple ou encore les dispositions budgétaires de l'Allemagne dont l’objectif est de tirer à elle le reste de l'économie de l'union. 
Examen sans frais, surprenant et révélateur.



Nous n'avons, à quelque niveau que ce soit, aucune relation activement européenne interne digne  de ce nom. Même publicitairement ! Que savons nous de nos voisins, d’est en ouest et de nord en sud ? Quels sont nos enrichissements linguistiques ?  Que ce soit au plan  social ou  culturel, il n'existe rien qui participe d'un partage, d'un échange  voire d'une union à l'exception, toutefois, du trompe l'oeil et du faux semblant suractivé.  On pourra toujours s'étonner de la place occupée, à haute échelle, par les moeurs sociétales américaines que ce soit pour l'alimentaire, le culturel, l'économique voire le militaire et le politique avec l'édifiant  parti républicain de Sarkozy.  Aujourd’hui nous voyons combien le club européen  est devenu une « béquille » pour les Etats Unis dont le régime se durcit et se crispe.  C’est sa survie qui est en jeu. L’analyse est d’une   simplicité d’autant plus désarmante qu’il y a une armada d’imbéciles élitistes qui se perdent dans des analyses et discours stéréotypés ineptes et nuisibles. Mes voisins sont dans un ton parfois plus juste concernant l’Ukraine et la Syrie par exemple. Ce qu’ils disent, avec maladresse,  a du sens et une logique certaine qui pourraient recadrer  bien des "spécialistes" patentés et édités. 

Les politologues  et autres économistes en savent-ils plus?. Les "dogmatologues", espèce à définir, peut être. ? !

Le concept d'une fédération européenne n'a jamais vu le jour et nous n'avons aucune illusion à nourrir. Ce qui est, ressemble à un agrégat européen à gouvernance  bureaucratique et technocratique, celle de Bruxelles avec ses tutelles autoritaires et non rétractables.     Ce n'est pas tant des gouvernements qui doivent se mettre en place que des comités de gestion où banquiers, affairistes, oligarques, et autres grands fonctionnaires satisfont les besoins de l'Europe très libérale du marché et de la finance qui n'est que l'écho  très modulable de l'évolution de l'économie américaine.    Monsieur Monnet, pour en revenir à lui,  était un remarquable commis voyageur aussi  à l'aise dans le cognac que dans l'affairisme outre atlantique. Il eut été un excellent monsieur TAFTA !

Dans le "projet" du duo Monnet-Schumann  les peuples que nous sommes représentaient la masse conjoncturelle active et le potentiel tactique à usage direct ou différé. Nous fûmes et nous demeurons otages et cautions. C'était dès l'origine toute une stratégie de la financiarisation à l'échelle européenne sous l'autorité des banques et de leurs nervis.  En clair l'argent fut et reste sans visa ni passeport. Quant aux individus, toutes fonctions confondues, les codes du travail et les réglementations  ne cessèrent jamais d'être   repensés pour le pire des   exigences patronales avides. Les dirigeants actuels sont d’autant plus compréhensifs et actifs, qu’ils sont très directement concernés. L’exécutif est proprement narcissique, comme nombre d’élus mal garés. Le ministre de l'économie, prototypique, en service, qui n'est pas s'en rappeler le singulier Giscard d'Estaing, veut mériter ses revenus. Ce n'est plus du zèle, c'est de la furie. A-t-il l'intelligence exacte de  ce qu'il  décide  et en saisit-il à moyens termes les conséquences ?Je me permettrai de dire que cet homme, s'il en est, représente  une nouvelle génération de technocrates déculturés, dépolitisés et fondamentalement soumis au diktat de l'idéologie dominante.   
Les expressions casseurs, videurs, dégraisseurs et autres fossoyeurs, chez ces gens là, prennent tout leur sens.  



J'entends souvent dire qu'il faut attendre et voir, ou encore les choses sont ainsi et ne peuvent changer ou encore le pire, advienne que pourra, de type césarien. Tout ce monde n'a eu de l'Europe, dont beaucoup ignore où elle commence et où elle finit, qu'une saisie émotionnelle et exaltée. Le comble fut atteint par l'arrivée de l'euro devenu pour une grande majorité la ligne d'horizon de tous les possibles économiques. Quelle ne fut pas la surprise de découvrir, outre un redressement de conversion des prix - de tous les prix, les inévitables disparités d'un pays à l'autre. Certains n'ont toujours pas compris et d'autres continuent de se désintéresser du marteau qui les a frappés et qui demeure sur leur tête.

Il est très clair que la définition de peuple se perd dans des considérations   extra-humaines pour fondamentalement convenir à l’économie  et tout ce qui s’y rattache en obligation et en aliénation. L'Union Européenne ne développe aucune de ses fonctions et autres équations avec des paramètres sociaux  affirmés.

Nous sommes tout le monde et personne, tous profils sociaux confondus appelés à soutenir les supercheries de type austérité et escroquerie de type solidarité.  N’avez –vous jamais essayé de réfléchir sur le bien fondé de toutes ces cartes de fidélité qui sont autant des sources d’identification que des sources substantielles de profit.  Nous sommes de toutes les complaisances et ironie, nombreux sont ceux qui se prêtent violemment à la défense de ce système verrouillé et brutal où la très grande fortune est le passe-droit. Rien ne vient du divin et rien n'est sacré mais tout est tangible et infect. Il n'y a aucun démenti possible même de très mauvaise foi.

L'Europe n'est pas une déconvenue pour tous.  N'est-il pas vrai que nous payons les dettes des usuriers, et que le secteur privé s'enrichit sur le dos du secteur public d'où une politique "austéritaire" et foncièrement anti-sociale ? Il ne peut y avoir de croissance,  cette question est conjoncturelle, mais il y a défection du travail et progression  du chômage. Une logique toute capitaliste du toujours plus sur le toujours moins. Il ne faut pas se méprendre sur ces conditions murement « finalisées ». Elles émanent de structures financières et manufacturières -les multinationales – et de clubs de décideurs grotesques mais  prédateurs et destructeurs. Ils sont  en dehors de la société, en surplomb sur l’humanité et quand ils tiennent salon,  les mercenaires du renseignement et de la subversion CIA et ONG en tête  se préparent à des "missions humanitaires"  musclées et étincelantes  pour le meilleur d’une   démocratie "formatée", et aux dires d’un géant de l’électro-ménager ,qui lave plus propre.

L'Europe économique, qui offre toute les tentations fédératives,  est une entreprise engagée dans des courants violents de privatisation affranchie,  tant les critères se sont concentrés sur les politiques sociales et publiques et leur démantèlement.   La situation de la Grèce est très symptomatique. Les Peuples sont entrainés dans une dynamique destructrice qui peut les mener à toutes les aventures dont une guerre sans issue.



  

Ce qui se passe dans le monde est l’une des conséquences planétaires de la disparition, que je ne cesse de déplorer, de l'Union Soviétique pour laquelle les sanctions et autres embargos n'ont jamais cessé depuis 1917, qui a pu avec   une certaine énergie et tout autant une certaine subtilité pendant la dite guerre froide, contenir en partie l'hystérie américaine qui est aujourd'hui à son apogée maladive et qui ne peut se contrer que du fait d'un rebondissement géo-politique mais aussi militaire de la Fédération Russe et tout  autant des pays du BRICS dont la montée en puissance et en développement  est, je le souhaite,  réfléchie et responsable. La « pentagonite » ou la « pentanévrose »  contagieuse, n’a pu franchir le cap de l’intelligence ordinaire.  Outre le niveau de réflexion, la réflexion elle-même de certains officiers supérieurs étasuniens  a de quoi fortement inquiéter.

Dire que les conflits actuels et leurs débâcles sont ceux  d’une fracture de l’hégémonie impériale des USA et de leurs affidés  sur laquelle ils s’épuisent et dans laquelle ils s'enfoncent, est un lieu commun qu’il est nécessaire de replacer dans une crise élargie et non plus limitée au seul espace économique ou politique.  C’est une crise de système, soit, mais c’est surtout une crise de civilisation où certains courants  s’effacent et d’autres   apparaissent. Que l’occident le veuille où non , il porte les germes des mutations futures qui ont eu leurs précurseurs en URSS et dans l’ensemble des pays de l’est  mais aussi en Libye dont je parle plus loin et aussi en Erythrée diabolisée comme jamais  sans oublier Cuba  qui est un espoir affirmé pour toutes les Amériques.  Pour l’heure il y a récurrence des mentalités agressives néo-conservatrices et ultra réactionnaires. Le singulier sénateur Mc Cain n’a rien a envier au sinistre Mc Carthy dont la croisade ne fut jamais une guerre ouverte au pourrissement social, à la corruption généralisée, à l'enrichissement vénal.

La justice sociale, le développement civilisationnel  et l'aspiration au socialisme au nom de l'homme et pour l'homme n'ont jamais cessé d'être combattu dans un pays dont les fondements occultés sont le génocide  des peuples amerindiens,  l'esclavages des populations africaines et les conflits inter-ethniques à la faveur d'un prototype hybride le "wasp" qui était sensé résumer le style de vie américain exportable. 




C'est par complicité, compromission et soumission internes que l'Europe se retrouva sous tutelle, la France en particulier dont les très prétendues  haute intellectualité,  haute culture et   haute conscience n'ont jamais fait rempart.. Que faut-il admettre  qui soit admissible ?  Serions-nous dans le faux et usage de faux depuis  soixante dix ans. La machine à illusion hollywoodienne a-t-elle si remarquablement fonctionné pour que les individus du docteur ès machin au manœuvre n’aient rien compris à rien et se laissent éblouir, encore,  par le sourire sirupeux d’un Clooney, hélas bien apprécié dans ma famille,  

 Le sursaut du fauve étasunien est sans perspective établie, outre l'hégémonie, mais il est fourbe et meurtrier. Le peuple américain a été trompé et annihilé. Son profil actuel le fait pencher vers une "décivilisation" et un effondrement sociétal tout aussi irréversible que les dépressions financières qui s'annoncent chez lui. Le rebond de la criminalité multiforme et les déséquilibres sociaux toujours plus grands  ont de quoi inquiéter.  La prospérité malsaine  et ciblée des Etats Unis fut le corrélat des politiques coloniales de Monroe au XIXeme siècle et expansionnistes de Wilson au XXeme entérinant un leadership sauvage et brutal de type césarien, amplifié à l'extrême à l'issue de la 2e G.M., dans lequel se sont fourvoyés tous les locataires de la Maison Blanche sans aucune exception même à l'époque du new-deal.

Faut-il admettre, que le bon sens et la lucidité n'ont jamais pu être consommés du seul fait qu'ils n'ont jamais pu se développer.

Regardons de notre coté,  notre réalité et notre devenir. Les choses ne sont guère différentes. L'avenir est hypothéqué suivant les mêmes règles et les mêmes mensonges. Les dirigeants des pays occidentaux sont à la  pointe de la propagande toujours plus efficiente prise en relai par ce que j'appellerais "les besogneux" de type BHL. Je m'épargnerai de trop citer ces épigones en nombre et dont certains ont des comportements dangereux, voire criminels. Ils sont par média interposés les meneurs de jeu de la "vox populi", le fond de l'air ou encore l'opinion publique. Ils induisent, déduisent et réduisent avec frénésie et n'ont d'équivalents que les ONG dont ils sont dans la plupart des cas des employés actifs pour ne pas dire agents zélés.  Le retour lamentable de la France dans le bastion otanien ne fut pas le fait d'un innocent acnéen mal conseillé et en mal "d'américanite". Que dire de l'exécutif actuel et de ses décisions qui viennent d'ailleurs ? La russophobie par exemple puissamment orchestrée par les Etats Unis a pris un caractère des plus inquiétant par son instrumentalisation irresponsable. Elle affecte plus encore la télénévrose collective à tous les niveaux sans discernement et jusqu'à l'aliénation. La germanophobie en France à la veille de la 1ere G.M., en l'absence de la télévision qui n'existait pas, avait atteint des sommets de haine et de folie meurtrières.  



Le  scepticisme sournois se prévaut sur toute intelligence des situations et des évènements.  L'adage, "Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose" de l'infâme Goebbels,  se vérifie   hélas dans tous les milieux à l'exception de ceux à qui  l'escroquerie profite. Les oligarques de toute souche, populiste de type Tapis et de cénacle de type Macron, en récupèrent les dividendes qui apparaissent au grand jour et dont on ne peut imaginer qu'elles  sont contraires à l'évolution concernant l'avenir de la Planète et de l'Humanité. 

Et l'opinion, l'angoissante opinion qui peut brûler ce qu'elle a adoré. L'Humanité est dans l'anti-chambre d'évènements majeurs qui   décident déjà  de son devenir. La propagande s'active et "décérébralise".  Il suffit d'entendre les gens de la rue qui par  mimétisme verbal accusent  la Fédération Russe de tous les maux. Mais elle les subit tous.! Force est de constater qu'il y a une continuité et une cohérence qui ne se démentent pas et qui ne se démarquent pas, dans l'esprit, de celles qui prévalaient à l'époque soviétique dans ce qu'il était convenu d'appeler l'équilibre de la terreur et qui l'était d'autant plus que le pacte de Varsovie limitait les intentions expansionnistes  de l'OTAN et de son "acolyte israélo-sioniste" -je dis bien acolyte-. qui est un danger bien réel avec sa politique expansionniste, ses 30 ogives nucléaires et ses usines d'armement. L'Occident, des droits de l'homme à médecins sans frontière et le reste, n'ont jamais eu un mot contre cette infamie nourrie par un quarteron d'extrémistes qui se réclament toujours de toute impunité pour liquider la poche palestinienne de Gaza. Nous pouvons,  très objectivement, constater l'extrême lucidité  du Kremlin -j'attends mon chèque- qui a bien compris les enjeux et la nature des conflits nés d'un sursaut pathologique  des USA et de leur meute. Les occidentaux sont dans une période de dégénérescence d'une ampleur inédite et réagissent par un repli narcissique pervers et destructeur et plus encore - singularité de la fatuité et de tous ses corrélats- auto-destructeur. L'hydre occidental libéral se noie dans "sa propre merde". Nous le ressentons d'autant plus,  que les médias contaminés en véhiculent, jusqu'à saturation, les effluves.

La question est de savoir jusqu'où les choses iront  et comment les peuples réagiront. En Europe les crises sont latentes et un printemps européen - curieuse appellation- en positif du monstrueux printemps arabe  serait profitable entre autres au continent africain, en particulier à la Guinée équatoriale et à l'Erythrée qui ont mes sympathies objectives  et que je soutiens fermement. Ils sont l'Afrique  du XXIeme siècle.  Quant à la Corne de l'Afrique les enjeux stratégiques en font une victime durable dont le désespoir m'affecte. 

  Je signale, ici, que les deux pays que j'ai évoqués sont jugés indésirables par le quai d'Orsay et que Googles sur 7 pages de sites annonce en titre le Naufrage d'une dictature. Après Coca Cola France, il y a Google France. Dans quel panier je mets mes œufs ?


J'en finirai par la Libye, en particulier, tant le crime noyé par une propagande cynique et féroce, fut l'un des plus odieux perpétré par l'infernal trio anglo-franco-américain. Nombre d'individus savaient où en était ce pays l'un des plus avancés et des plus prometteurs au delà de la sphère africaine. La personnalité de Kadhafi, l'une des plus marquantes, fut ridiculisée jusqu'à la caricature. De quel droit les occidentaux décident-ils de ce qui est bien ou mal pour un pays ? Alors qu'ils soutiennent les états les plus réactionnaires et les plus sanguinaires. Le premier d'entre eux étant de fait les Etats Unis eux-mêmes.
Revenons en à la Libye et sa population, comment vivait-elle, quel était  son niveau d'évolution sociale et culturelle. Il n'est pas de plénipotentiaire et autre personnel occidental sans oublier les visiteurs "hardis", qui n'aient pas remarqué ce qu'était, hors tout sentimentalisme et naïveté,  la Libye sous Mouamar Kadhafi avec entre autres ses droits sociaux inédits et où la population noire du sud était reconnue libyenne en droit et dignité et où, pour marquer les esprits,  le litre d'essence était de 0,14 euro et  l'espérance de vie passée de 51 à 74 ans. Je parlerai prochainement de ce pays qui fut hautement gênant et de la personnalité très controversée mais exceptionnelle de celui qui institua  la Jamahyrhia arabe à la fois utopiste et réaliste et, insubordination majeure, à orientation socialiste. Les ONG, aujourd'hui bien identifiées ont, pour reprendre le mot élégant de monsieur Fabius,  fait "du bon boulot".

Par ailleurs la tuberculose, en France, est en sensible progression et une famille sur deux vit au jour le jour. Quant à la prostitution, les réseaux se sont adaptés et aux dires des associations son économie est florissante. L'abattage du dimanche, déjà en vigueur, a du inspirer d'autres affairistes qui prolifèrent.






                                                  
                                     Natanoucha              Que pourrais je dire
                                                                                 Plus que tu m'inspires
                                                                         Et que pourrais je écrire
                                                                                  Plus que je te pense


`                                                                                                m.o.r


"La croyance n'est pas la connaissance pas plus qu'elle est son substitut mais elle est invariablement son avatar"

                                                                   Aphorisme 34. m.o.r
                                                                                    michel orel rosiu