lundi 15 janvier 2018

LOUDUN les mêmes lieux hors les traces de Jeanne des Anges



Une imbécile, attachée culturelle patentée en action, m'a demandé outre mon pedigree, ma cote épicière afin d'évaluer commercialement mes travaux. 
Pour le pedigree, je ne me connaissais  aucune filiation animalière. Quant à ma cote, j'aurais pu lui proposer mes sous vêtements à prix coûtant et en l'état. 
Cette mentalité petit bourgeois !...








"Ce dessin n'a que des défauts dus à une main mal habile et un esprit peu attentionné. Faites autres choses !
Ce dessin révèle de belles intentions dues à une main encore incertaine mais  un esprit bien disposé.
Volonté à encourager.
Deux mondes, et nous vivons dans le premier.






Je sais la peinture pour la faire. Quant à l'enseigner !
















                                         Qu'il ouvre les yeux
                                                    Et le soleil imbu de lumière
                                                                                Nous envahissait.

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samedi 6 janvier 2018

De la communauté internationale bananière

A mensonge, je préfère menterie.
Le premier pourrait venir d'un songe,
Et le second d'une plaisanterie !

                    Apho. 186 m.o.r



 
Où vivons-nous ? Dans quoi vivons-nous et comment vivons-nous ?

J'ai lu que les licences des sportifs "paralympiques" russes avaient été distribuées à d'autres équipes en particulier celle des Etats Unis et celle d'Ukraine qui ont accepté apparemment sans état d'âme et  qui doivent supporter l'infamie et l'indignité de leur dirigeants qu'ils soient sportifs ou politiques. Les uns ne vont pas sans les autres si l'on en juge le comportement de l'agence anti-dopage qui pourrait avoir son siège à Washington. Faut-il rappeler que cette affaire relève d'une diffamation planifiée et structurée où le grotesque relève de la bouffonnerie chèrement payée. Les délateurs sont ce qu'il y a de plus sordide et de plus pervers.
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Le TAS qui n'a d'égal que le TPI  sont deux instances entre des mains bien établies et qui fonctionnent à géométrie variable et vitesse appropriée. Ils  sont sous influence des forces hégémoniques et tous leurs subsides.  Le premier se garderait fort de juger "en masse" les sportifs américains ou allemands, voire britanniques pour abus de coca ou d'anabolisants. Quant au second, on est dans le deux poids deux mesures, depuis l'intervention OTANO-américaine.  en Yougoslavie et Hollande parmi d'autres dans l'hémisphère nord de la planète.
 
Faut-il que nous supportions toujours plus l'ignominie et les perversions du "monde occidental" -complexe conviendrait mieux - qui est, hélas, le nôtre et qui n'aborde, en réponse, les nombreux drames dont il est le promoteur que par une déstabilisation et une militarisation criminelles. 
La communauté internationale, avatar de l'opinion publique,  est souvent évoquée , voire citée par les "psittacidés" de la radio et de la télévision, -quel boulot- afin d'habiliter ou de discréditer un évènement, une cause et bien entendu une politique.
Selon CNN les sanctions contre le Vénézuela frapperont les avoirs sur compte du président Maduro qui se trouvent aux USA. Maduro qui n'a aucun compte à l'extérieur de son pays a fait dire au rapporteur de la maison blanche qu'il avait usé selon ses termes d'une information déclarative qui n'est ni un concept pentagonien ni une bouffonnerie journalistique mais la démarche est perverse à souhait.
Je continue.
Que dire du journalisme qui n'ait été dit ? Plus rien d'autant qu'il se dévoie sans jamais cesser et très naturellement par soumission et allégeance. Je crois l'avoir déjà écrit. Se répéter est parfois utile. J'ai saisi au vol les joutes Sapir -Zemmour qui se voulaient débats et qui se confinèrent dans un rappel de positions tactiques avec mise en situation d'un meneur de jeu.
Le journalisme est une sirène et qui ignore les gardes-fous. En clair, un esprit hors tutelle financière que je n'oppose pas à d'autres pour satisfaire quelques demeurés dont  nombre de "philosopheux" , comme on dit "violoneux", de souche journalistique dont les discours ne cessent d'être autoroutiers  et "fasfoudés".

Dites-moi que je me trompe, et que mes frustrations sont hors limite.



Je reviens toujours à la même question. Comment se peut-il que Mickey et sa clique s'invitent encore à de si nombreuses tables d'artistes et  d'intellectuels, les uns et les autres en surnombre, et qui osent une macronisation  de novice ?
Le talent sait se cracher dessus non par complaisance mais par nécessité et par réflexe.  La radio, France Musique, aux avants postes, distribue chaque matin une dilution de consécration dont l'unique intérêt est de tirer profit de l'offre qui leur est faite entre information et publicité.  L'idéologie dominante peut dormir tranquille. La bourse veille au  grain - expression de marins et non d' herboriste-  et les salons sont bien remplis. Quant au système, sa phase dégénérative est réellement engagée d'autant que la foire politique initiée par Hollande et ses prédécesseurs vient de s'ouvrir aux tout venants.  Il me semble que le gourou Attali, sur cette question joue le jeu que la presse soumise veut bien lui faire jouer. Je ne partage avec ce "Monsieur" que l'âge. J'ai failli écrire "sicaire".
Il fut sous Mitterand le grand ordonnateur -éminence grise noire- qui assainit la gouvernance d'alors
en forçant le départ des ministres communistes. J'ai toujours regretté qu'Anicet le Pors ne précipitât pas   le mouvement pour réformer l'ENA qui, en l'état actuel de son développement, est amené à disparaître pour laisser la place à une officine mieux adaptée et plus assujétie.
Pour ce qui est de la communauté internationale, l'illusion est d'autant plus acquise qu'elle le dispute à la très serviable arlésienne. La diplomatie étasunienne, Nikky Halley, en tête en est grande consommatrice. C'est dire le niveau de bluff et d'hypocrisie qui circulent dans l'hémicycle de l'ONU.

                                                                                                 michel-orel rosiu