APHORISMES 2eme LIVRAISON.
A.
LIII)
`
Nouveaux textes du 7 octobre 2017 `
Ecrits sur le vif et noircis sur le grill. 01
Ecrits sur le vif et noircis sur le grill. 01
L’étonnement
si précoce s’effaçait
Hors la confidence des mots
Hors la confidence des mots
Au
dessus des enfants prodiges
Il
y a les enfants mirages.
Quel imbécile pourrait les voir
Puisqu'il n'a qu'une fausse idée des premiers
Quel imbécile pourrait les voir
Puisqu'il n'a qu'une fausse idée des premiers
Il
n’y a pas d’enfance prodige
Mais
des prodiges d'enfants !
L'enfance est le lieu de tous les dressages. Il est celui de tous les possibles. Nombre d'adultes s'en emparent jusqu'à destruction.
L'enfance est le lieu de tous les dressages. Il est celui de tous les possibles. Nombre d'adultes s'en emparent jusqu'à destruction.
La
poésie devrait être sans compromission
Pas
même celle de parler à soi-même.
La poésie qui nous ressemble est avide de spontanéité
et de vérité vive. Qu'est ce à dire ?
Peut elle être réfléchie et préméditée ?
La poésie qui nous ressemble est avide de spontanéité
et de vérité vive. Qu'est ce à dire ?
Peut elle être réfléchie et préméditée ?
Elle
ne saurait envisager la complaisance
pour
simplement prétendre à l’accessibilité.
La
poésie est un état de fait sans partage. Elle vit en nécessité et se joue de l'intelligible. Elle n'a de lecteur que celui ou celle qui la reconstruit et qui se prend au jeu de la vouloir expliquer, voire commenter.
Hors
innocence nous étions prophétie
D'un avenir en abysse
Qui
nourrissait ce qui nous ressemblait
De nouvelles terreurs
Dont
nous ne pouvions imaginer
Quelles
fussent si proches et si consenties.
C’est
là dans le silence de la nuit
N’ayant
du sommeil peu de désir
Qu’il
devenait Mozart.
L'art se prête à tous les outrages dont celui d'être un commerce.
L'outrage est d'autant plus possible qu'il a des tenants financiers qui peuvent assurer les risques.
Pour ce qui est des modes, n'a-t-on jamais évoqué des questions d'enchères plus que de styles ?
Sans honte, N'osera-t-on jamais de surenchères concernant les dessins d'Enfants de Térézin et ceux des Enfants de Gaza ?
Que dire d'un outrage qui ne soit pas un blasphème ?
Dire que l'art contemporain participe d'une dose de fumisterie est, par humour, acceptable mais que dire de la supercherie ?
Que n'est-il commercialisé en grande surface avec promotion et soldes ?
A quand l'ACB, art contemporain bio, distribué par TEVA par exemple et pourquoi pas remboursé ?
J'ai toujours voulu savoir si la sécurité sociale avait des bureaux à Neuilly, le Touquet et autre Deauville ?
En matière artistique, de nos jours, l'admission et la reconnaissance s'établissent par la finalité commerciale dument agréée. Ce qui était autrefois le fait du prince est devenu aujourd'hui celui du banquier .
Nombre d'artistes, dont je tairai les noms, ont estimé la fréquentation des riches héritières dont ils ont su faire pour certaines d'authentiques "mercenaires" de l'art très officiel en amont et très largement superficiel en aval.
La CIA n'a-t-elle aucun tenant et aboutissant politiques
quant aux artistes étasuniens en représentation ou délégation en dehors du "pays" et dont elle feint d'ignorer les noms pour ne pas paraître ce qu'elle est. Surtout à un vernissage dont elle pourrait revendiquer le mécénat.
La CIA et Dysneland; quelle engeance. Sans oublier les sodas et autres weapons (naturellement sans guillemets)
Tout se paye, le succès comme le reste et bien plus encore.
Quant au talent tout est dans le discours , ascensionnel, de celle ou celui qui le tient.
Une proclamation pour ne pas dire acclamation n'est pas pour autant un acte de naissance mais il peut devenir un acte de suffisance.
Conquérant, il l'était dès l'aube naissante
Prenant le soleil dans sa main par simple défi !
Un artiste, un peintre de type maladrerien ne peut rien prétendre sans un carnet d'adresses représentatives qui lui épargneraient des sollicitations sans lendemain et du colportage humiliant.
En synonyme de carnet d'adresses, il pourrait y avoir "laissez passer" du latin "miss" comme il se doit !
L'expression des arts contemporains, pluriel intentionnel, les arts plastiques en dénommé, se prête à la falsification et au transfert sans jamais prétendre à la copie. Elle est ni vraie ni fausse et ne prétend pas l'être puisqu'elle est exaspérée. Les vifs de l'esprit ajouteraient, "exaspérante", avec un vibrato de fond de gorge.
Les chercheurs ne présentent aucun intérêt et seul celui qui trouve se voit coté en bourse. Picasso savait cela par nature mais ne fréquentait pas le Palais Brongniard.
L'art se prête à tous les outrages dont celui d'être un commerce.
L'outrage est d'autant plus possible qu'il a des tenants financiers qui peuvent assurer les risques.
Pour ce qui est des modes, n'a-t-on jamais évoqué des questions d'enchères plus que de styles ?
Sans honte, N'osera-t-on jamais de surenchères concernant les dessins d'Enfants de Térézin et ceux des Enfants de Gaza ?
Que dire d'un outrage qui ne soit pas un blasphème ?
Dire que l'art contemporain participe d'une dose de fumisterie est, par humour, acceptable mais que dire de la supercherie ?
Que n'est-il commercialisé en grande surface avec promotion et soldes ?
A quand l'ACB, art contemporain bio, distribué par TEVA par exemple et pourquoi pas remboursé ?
J'ai toujours voulu savoir si la sécurité sociale avait des bureaux à Neuilly, le Touquet et autre Deauville ?
En matière artistique, de nos jours, l'admission et la reconnaissance s'établissent par la finalité commerciale dument agréée. Ce qui était autrefois le fait du prince est devenu aujourd'hui celui du banquier .
Nombre d'artistes, dont je tairai les noms, ont estimé la fréquentation des riches héritières dont ils ont su faire pour certaines d'authentiques "mercenaires" de l'art très officiel en amont et très largement superficiel en aval.
La CIA n'a-t-elle aucun tenant et aboutissant politiques
quant aux artistes étasuniens en représentation ou délégation en dehors du "pays" et dont elle feint d'ignorer les noms pour ne pas paraître ce qu'elle est. Surtout à un vernissage dont elle pourrait revendiquer le mécénat.
La CIA et Dysneland; quelle engeance. Sans oublier les sodas et autres weapons (naturellement sans guillemets)
Tout se paye, le succès comme le reste et bien plus encore.
Quant au talent tout est dans le discours , ascensionnel, de celle ou celui qui le tient.
Une proclamation pour ne pas dire acclamation n'est pas pour autant un acte de naissance mais il peut devenir un acte de suffisance.
Conquérant, il l'était dès l'aube naissante
Prenant le soleil dans sa main par simple défi !
Un artiste, un peintre de type maladrerien ne peut rien prétendre sans un carnet d'adresses représentatives qui lui épargneraient des sollicitations sans lendemain et du colportage humiliant.
En synonyme de carnet d'adresses, il pourrait y avoir "laissez passer" du latin "miss" comme il se doit !
L'expression des arts contemporains, pluriel intentionnel, les arts plastiques en dénommé, se prête à la falsification et au transfert sans jamais prétendre à la copie. Elle est ni vraie ni fausse et ne prétend pas l'être puisqu'elle est exaspérée. Les vifs de l'esprit ajouteraient, "exaspérante", avec un vibrato de fond de gorge.
Les chercheurs ne présentent aucun intérêt et seul celui qui trouve se voit coté en bourse. Picasso savait cela par nature mais ne fréquentait pas le Palais Brongniard.