jeudi 20 août 2015

"Bon anniversaire Fidel"



"Bon anniversaire Fidel".
  1. Vous êtes avec quelques Autres, que je porte au coeur, la dignité et la grandeur de l'Humanité.

Je ne pouvais imaginer meilleure introduction pour inaugurer ce blog dont je n'ignore pas la  nature de l'espace social, sociétal et politique dans lequel il est amené à évoluer. De même que je n'ignore pas les contraintes que représentent la parole écrite, à savoir le texte, dès lors qu'il rentre dans le domaine public dont les niveaux de lecture et de compréhension interrogent.
J'assume à la fois mon attitude et mon engagement, et invite les adversités à la retenue et au débat si tant est qu'il puisse y en avoir. Aujourd'hui plus que jamais, je suis attaché à une mutation radicale politique, sociale et civilisationnelle qui nous ramène vers l'Homme. Nous en sommes si loin.
Consommatrices et mercantiles, incultes et intolérantes, vénales et mafieuses, oligarchiques et terroristes, et tant de désastres ouvertement criminels. N'est-ce pas l'état lamentable de nos communautés de suffisance, de condescendance, de haine, de mépris et de "connerie" inimaginable dont je ne veux  pas et que je n'accepte pas.
Je songe, ici, à ces gens proches et lointains en fin de parcours, pour certains "tassés" dans un conformisme sceptique petit bourgeois, familialiste et passéiste jusqu'à la névrose, entretenus par une retraite en peau de chagrin que lorgnent les rapaces du système. Ce n'est pas le sieur Arnaud avec son compteur à 17000 euros la minute qui me dira le contraire.  Nous touchons à l'obscénité. Nous sommes dans l'obscénité.
J'en voudrai, pour simple démonstration, l'exemple navrant du professionnalisme bien souvent héréditaire de la politique patriotique et étroitement  affairiste à laquelle je ne saurais associer ce que j'appelle les forces de gauche, de progrès, dont le PCF et dans une moindre mesure le Front de Gauche sont les légataires.  Outre d'être héréditaire, la politique bourgeoise - le terme me semble convenir - est paradoxale et outrageante par 'l'establishment' pyramidal dont elle s'honore et qu'elle développe et amplifie sur les fonds baptismaux de la finance et de la divine légitimité.  En France, pour rappel, il y a un élu pour 104 habitants, soit 620 000 délégués de toute espèce. Pour comparaison du même ordre et dans la même filiation idéologique, la Grande Bretagne compte 22 300  représentants. Je laisse à nos intellectuels le soin de chiffrer le rapport. Ajouté à cela, le coût  d'entretien  pour la Nation de 1 milliard 200 millions d'euros par an, en "valeur austèritaire" comme il se doit !
Puis-je suggérer - que ne suis-je élu - une réforme de fond et un  sérieux dégraissage, d'autant que de nombreuses compétences administratives et sociales corroborent de hauts privilèges. Je revendique  le bénévolat et l'abolition de tous les archaïsmes dont le présidentialisme. Les candidats seront plus rares, mais plus engagés et de meilleure tenue, pour ne pas dire qualité.  Le talent existe, le vrai, à nous de le réhabiliter.
Je profite de ce propos pour dire combien Madame Hidalgo, une élue de taille et de poids politiques, a manqué de jugement et de pudeur, l'illusion certainement, avec l'opération Tel Aviv sur Seine qui aurait pu s'appeler conjointement Gaza sur Seine. Ce ne fut pas un choix mais un avatar dont sont porteurs nombre d'élus "socialo-mal assis". Cette dame ne fut pas dans l'erreur mais dans l'opportunisme et la stupidité, consacrant agressivement ce qu'il est convenu d'appeler "le djihad sioniste" avec ses mercenaires à double nationalité de la rue des Rosiers prêts à toutes les opérations meurtrières dont 'Tsahal pentagoné" est l'organisateur. A ce niveau de parti pris, cette attitude emboite le pas à celle de messieurs Fabius et  Valls, aussi dangereux que vulgaires, aussi ineptes qu'incompétents. Les adhésions au  sarkozi-club sont ouvertes.
Mes pensées et mon soutien vont à Manuela Carmena, nouvelle mairesse de Madrid,  à qui je souhaite un immense courage et une grande détermination dans ses engagements.

N'ayant pas un ordonnancement rédactionnel bien établi - je rappelle que ce blog est inaugural - je suis tenté d'évoquer, non sans sentimentalisme, le fondement principal de la vie politique et des partis qui s'en réclament, à savoir le militant, tantôt oublié, tantôt instrumentalisé et toujours comptabilisé.  J'en ai saisi toutes les facettes et suivi tous les contours. Je sais fortement qui il est. Je sais sa personnalité maladroite et généreuse, son espérance abusée et tout autant sa naïveté et sa vulnérabilité. Il est rarement carriériste et s'étonne de l'intérêt qu'on lui porte. Il est monsieur et madame tout le monde avec en l'esprit la beauté de ce monde.  
Ce personnage, qui est l'Histoire et qui la fait, qui est le Peuple et qui le construit, est tout à l'opposé de ce que j'ose appeler les parrains des salons et des grandes messes et les cols blancs des conseils d'administration et des séminaires haut de gamme qui se délèguent dans les arcanes du pouvoir tantôt en élus tantôt en potiches souvent opportunistes.
Aujourd'hui les enjeux sociaux et économiques qui sont considérables se déplacent, les hégémonies se contractent et se ruent tête baissée en démagogie et terrorisme dans les aventures les plus meurtrières. Il est clair que le monde se repense et se recompose avec, j'ose le croire, des forces plus lucides et plus saines. C'est la fin d'un monde de névrosés, avec une mise à feu et à sang de la Libye, du Mali, de l'Irak, de l'Afghanistan et de bien d'autres en Afrique, au Moyen Orient et en Europe, la Yougoslavie et maintenant l'Ukraine qui m'est chère, souillée, pillée, assassinée et  dirigée par une équipe sordide et mafieuse accouchée par les USA et l'EU qui ont perdu toute retenue et toute lucidité. La dernière déclaration de monsieur Obama sur l'Ukraine à l'avenir radieux est lourdement affligeante et totalement irresponsable.
Je ne peux que soutenir la Fédération de Russie encerclée de toutes parts et qui, avec sagacité, contient l'hystérie occidentale qui peut mener au pire. Je ne peux manifester que ma désolation pour la Grèce qui, sous nos yeux, meurt littéralement dépecée. Tsipras a démissionné, les fauves se délectent.
A qui le tour monsieur Junker. L'Europe déjà sans existence politique réelle est maintenant dans le vide économique et social. Aujourd'hui, la fin de cette association contre nature, hétérogène et anxiogène, d'hypothèse devient certitude. De président stipendié vous devenez fossoyeur et ce, sans déconvenue de revenus. 
C'est un monde  complètement déstabilisé et corrompu! Trop c'est trop. Ce n'est pas le mien !
Et voici que Google arrive après le renouvellement pour trois ans du bail américain sur Internet. Mais à quel titre ?
L'idéologie, ses dogmes, sa propagande et ses services facturés sont entre bonnes mains.
Ce moteur de recherche, comme c'est banal, est une officine lourde d'un impérialisme révolu qui ne tient qu'à un fil. Moscou a récemment acheté des bons du trésor américains, augmentant la dette publique de Washington, insoutenable et burlesque avec ses 18300 milliards de dollars et dont une partie  appréciable est détenue par un bailleur de fonds singulier, la République Populaire de Chine qui, avec les pays du BRICS, devrait exiger des States, dans le calme et sous risque de méchantes sanctions, un changement de régime et de gouvernement, et soulager le peuple étasunien d'une dictature, bien réelle, usée jusqu'à la corde. Ce serait une sage décision de salut universel et un retour à l'oxygène des grandes plaines avant forage. Pour ce qui est du reclassement des égéries du Capitole, des phénomènes de diplomatie "hamburguée",  il peut être résolu en développant un système de réinsertion  sociale, mot juste,  convenable pour elles, avec chambres personnalisées, et pour les 2 millions 200 mille "associaux",  la cour de récré..., chiffre "relatif", amusant, de wikipédia qui sert bien son maître. Même relatif ce chiffre est homologable. Par comparaison, il correspond en nombre à la population confinée en Sierra Leone pour endiguer l'épidémie Ebola politiquement récupérée par des ONG hyper-actives et plus, avec ou sans affinité.
Quant à Google, j'en terminerai sur son avenir qu'il doit repenser. Je lui propose de convertir ses efforts hégémonistes en efforts de solidarité et de, entre autres, convenir avec l'Aide médicale et sanitaire Internationale Cubaine, plus que remarquable, d'une participation active. J'aurai plaisir à évoquer l'oeuvre sociale et humanitaire de sa direction enfin positivement ouverte au développement de l'Espèce Humaine dans ses diversités et ses différences et à celui de la Planète ouverte à la Civilisation  Universelle, Une et indivisible.
Pour ce qui est des idoles et des livres d'accompagnement, le temps est à l'usure.
L'Humanité doit s'offrir à de grands desseins. Devant elle, son alter ego, l'Univers !
                                                                                              michel orel rosiu                     



"Le plus grand des crimes, c'est de laisser la Jeunesse sans espoir".  "Aphorismes " de Roger Vaillant.

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