lundi 10 octobre 2016
mercredi 24 août 2016
"La Ligne rouge" ili "choutka i komedia zakontcheni"
"L'efficacité du mensonge est dans sa persistance et sa durée".
m.o.r aph. 221
Il y a quelques années Forman Milos, au meilleur de sa fugue occidentale, offrait au cinéma hollywoodien son film "Amadeus" inspiré de la pièce de Peter Shaffer dont l'attention pour le texte de Pouchkine bien entretenue ne fit rien pour déroger à l'invraisemblance d'une histoire si magnifiquement inventée et si remarquablement portée à l'écran. Mais voila !
Je ne pouvais imaginer qu'une partie de mon entourage, apparemment de bonne plantation culturo-intellectuelle, se satisfasse d'une fantaisie, et s'en réclamant de parler avec assurance de ce qui n'a jamais existé. L'ignorance s'étant doublée d'une étonnante arrogance, le propos ne pouvait que tourner court au désavantage d'une vérité historique pourtant très claire et très établie.
Vous l'avez compris ! Nous sommes au coeur d'un détournement "tsunamique"de l'information qu'elle soit audio-visuelle ou journalistique et tout autant d'une manipulation qui se joue de l'intelligence collective absorbée par une rhétorique non pas du convenable mais du nécessaire. N'est ce pas ce qui est arrivé à Alep sur ordre du chef de l'Etat et dont les médias se sont faits discrets pour les uns et cyniques pour les autres pour ne pas dire obscènes. Je renvoie ici au papier de Libération qui minimise les bombardements de la coalition, toujours sauvages et illégaux, qui ont laissé semble-t-il 85 victimes, Damas dénonce le massacre d'au moins 120 personnes. Mais pour rendre ces chiffres "moins bruyants" le papier amorce un retournement proprement vicieux en situant cette bavure comme bien venue dans le jeu des loyalistes syriens. A ce niveau le journalisme est criminogène
"Plus pourri, tu meurs !". Les mauvais esprits évoquent avec pertinence un massacre des populations civiles et non des djihadistes par les avions de la coalition - apparentée à l'OTAN- dont des bombardiers français.
Les
médias entre les mains de quelques oligarques se déclinent dans le
déni de vérité qui pourrait très bien se conjuguer avec l'état d'urgence
actuel aussi inconséquent et meurtrier que les interventions au Mali,
en Libye et en Syrie pour laquelle la digestion française ne cesse
d'être difficile . On évoque du bout des lèvres la mise en accusation
de Blair et Bush pour l'invasion criminelle de l'Iraq et le génocide de
sa population. Je précise que le silence médiatique est de rigueur et
que les consignes américaines sont suivies à la lettre. L'éditorialiste
Paul Graig Robert a qualifié le New York Time de "mère maquerelle de la
presse étasunienne". C'est peu dire.
Depuis
la chute de l'Union Soviétique, j'en reviens toujours à cet évènement
dominant et à ce point fixe de l'Histoire de l'Humanité, l'impérialisme
occidental dans les vertiges de sa décadence et de son délitement a
précipité le mouvement guerrier d'une redistribution des rôles, des
obligations et de toute évidence des allégeances lourdement
anachroniques.
L'Europe
américaine était dans les esprits dès la fin des hostilités de quarante
. Elle avait son cheval de Troie avec le duo Monet -Schuman dont la
crapulerie de l'un n'avait d'égal que la fourberie de l'autre. Traitres
à la patrie ! Nenni, ils avaient l'assentiment de la conscience
collective violemment endoctrinée. Qui se souvient de la haine d'alors
et que moi-même et ma famille avons subi. Il y en eut bien d'autres qui
supportèrent les propos les plus infects. Nous aspirions à une Europe
des Peuples souverains, à une Europe du partage et de la coopération ,
pas à celle des banques et des oligarques, pas à celle de la médiocrité
et du mépris, pas à celle de la guerre et du terrorisme.
Qu'en
est-il aujourd'hui ? Le complexe impérialiste remet les couverts comme
au début du XXeme siècle. Les nazis ou Da'ech, quelle différence dans
l'opportunisme et la démesure criminelle ? Et quelle différence dans la
complicité ? Ne sont ils pas le produit d'une maladie dégénérative
proprement occidentale qui curieusement se ressource depuis le quinzième
siècle colonial du funeste C. Colomb toujours auréolé. Depuis la Bible
le mensonge a creusé des sillons profonds dans l'imaginaire ordinaire.
Les
derniers évènements, la reconquête d'Alep par les forces loyalistes
enlève définitivement la burka de la politique américaine qu'il n'est
pas difficile de lire et de décoder tant elle est depuis toujours comme
l'ensemble des politiques néo-libérales européennes dont elle est encore
la tutrice.
Il
est de plus en plus clair que la recomposition du moyen orient suivant
les schémas israélo-américains est un échec qui ne peut plus être évacué
d'autant que de nouvelles alliances se dessinent.
Je ne m'attarderai pas sur l'attitude turque qui participe d'une déroute occidentale très prévisible.
De
même que l'avenir de l'Ukraine est dans un espace géo-culturel slave,
celui de la Turquie ne saurait se définir en dehors de l'espace moyen
oriental dont la Syrie et l'Iran avec lesquels il a plus à gagner. Les
étasuniens (nouvellement appelés zuniens de la Zunie) qui ne sont pas à
un dédit près peuvent très bien sacrifier Ankara au profit d'un vague
protectorat kurde de type kosovar dont nous savons ce que tragiquement
il en est de faillite sociale et de dépérissement humain.
Pendant la 2eme GM la firme Coca Cola qui entretenait avec l'Allemagne nazie des accords commerciaux profitables mais devenus gênants a créé le Fanta bien anonyme en substitut pour ne pas contrarier une chaine alimentaire très dynamique. D'un coté les bombes et de l'autre les boissons gazeuses.
La politique de Washington qui s'est toujours ouverte à un affairisme impénétrable n'a en rien changé ses stratégies de division, de subordination, de substitution, de soumission etc..etc... et bien sur de pourrissement. Le concept Monroe de l'empire, anachronique à souhait, n'est pas le paradoxe que l'on pourrait imaginer d'autant que l'adversité russo-chinoise a tous les moyens, bien réels, de l'anéantir et bien au delà. Le statu-quo est plus effectif qu'il est imaginable.
Cependant la voie de la paix n'est pas le choix des USA. Ils ne peuvent en rien tirer profit. Ainsi ces derniers temps la Maison Blanche, sans en référer à la Syrie, a forcé l'occupation de facto avec zone d'exclusion aérienne d'une bande de terre qui pourrait, selon eux, préfigurer un kurdistan de marionnettes avec son libre service pour les organes traités et commercialisés en Israel. Je précise ici qu'il s'agit d'un acte de guerre délibéré dont la réponse je le crains risque d'être du même type que celle pour les jeux olympiques. La Gouvernance Russe devant l'hystérie qui préside en tout sens tant aux USA que dans la C.E manifeste un sang froid fait de calme et de lucidité et surtout de patience.
Je pourrais distribuer en ce qui concerne directement l'évolution psycho-politique de la société étasunienne le syndrome de Breedlove ou encore celui de Hillary C. tant les signes de troubles du comportement russophobique en particulier sont lourdement manifestes. Je ne prendrai pas à mon compte le dossier pourri des jeux olympiques pour lesquels la partie russe comptabilise les affres d'une faillite morale arrivée à son comble. Il est amusant d'évoquer le financement de l'AMA assuré pour les trois premiers donateurs, le Canada, la Russie et le Japon. Cherchez l'erreur.
Je rappelle ici, que les USA mauvais payeurs, ont boycotté les jeux de Moscou sur fond d'intervention soviétique en Afghanistan ce qui d'ailleurs offrit à Washington le pouvoir de contresigner l'acte de naissance de la très sainte Al-Queida avec les frères Ben Laden et autre Massoud alors en achat d'armes à Las Végas. Plus tard dans le temps la taupe Saakachvili, logé et nourri à Harvard, sur fond de jeux olympiques à Beijing n' a pas hésité à déclencher un conflit qui a duré trois jours et favorisé la sécession de la Bachkirie et de l'Ossétie sans qu'un seul G.I. ait fini son fast-food. Cela ressemble au scénario de l'Ukraine sur fond des jeux de Sotchi, de préservatifs et d'homosexualité bien masculine et pour finir la sécession très opportune de la Crimée et plus problématique celle inattendue du Dombass. Jamais la Russie ne fut aussi proches des latrines otaniennes très actives après une journée de manoeuvres.
Faut-il rappeler ce qui est devenu un lieu commun pour l'opinion publique, les USA ne combattent pas le terrorisme, ils le développent, ils l'instrumentalisent et le propagent là où leurs intérêts sont en péril. Les pires dictatures qui n'ont d'égales que le pire terrorisme se nourrissent et se renouvellent aux sources de la politique expansionniste et conservatrice de l'occident. Ils ne se passe plus une journée sans que les troupes de Daiech doivent leur salut grâce aux frappes bien ciblées de l'OTAN, et leur évacuation par des aéronefs de la coalition. Les menaces de type CM2 d'un officier supérieur américain, chef d'état-majeur, sont du même cru que celles fantasmées de l'administration présidentielle qui a toujours joué le terrorisme avant, pendant et qui le jouera après.
La politique du chaos est une réalité occidentale d'un système et d'une société très close et très sectaire. La nôtre! La démocratie faisant office de feuille de vigne. Dans l'actualité française, l'affaire Gabonaise à s'y méprendre réédite les évènements de la Cote d'Ivoire avec en prime un contingent de Castelnaudary. C'est du pur jus "Françafrique" revu par Sarkozy et actualisé par Hollande et qui est du goût de la pire réaction française type Front National.
Une grande question tant géo-politique que stratégique est ainsi posée pour les occidentaux. Depuis les conquêtes de Champlain, XVIIeme siècle, la réponse est vénale et criminelle. Fillon récemment osait le colonialisme comme un désir de partage entérinant toute la bêtise du conservatisme éculé dans lequel baigne, outre les droites et extrêmes, la sociale démocratie française.
Où en sommes-nous ?
Le titre de cet article renvoie à la réflexion que nous pouvons avoir de la situation mondiale qui est en plein mouvement et qui exige de chacun d'entre nous de ne rien céder au grand mensonge qui précède les cataclysmes et qui fait "saliver" les va-t-en guerre dont l'ensemble des dirigeants français, le chef de l'Etat sur la première chaise, qui est dans une relecture obsessionnelle du protectorat sur la (les)Syrie (s)
Un denier mot sur la presse monopoliste de notre pays qui couvre les évènements du M.O. et tout particulièrement sur le Monde qui devrait répondre de tous ses manquements à la simple vérité qui sont un épanchement de propagande assassine qui devrait être passible de procès et de pénalité. De par ses engagements pervers d'instrumentalisation, de financement et d'armement de Daech les américains et affidés sont l'anti-chambre d'une " mercenarisation" et portent la responsabilité du terrorisme et des attentats. Ils ont à répondre de toutes les victimes et de tous les assassinats.
Pour mémoire, quelle fut la place de la presse allemande dans la nazification de la population favorisant l'avènement de Hitler ? Quel procès ne fut jamais tenté pour mettre à jour ses menées subversives dont nous savons combien elles furent monstrueuses et criminelles? En France, aujourd'hui, la presse et la télévision, de Zemmour à la famille Le Pen, se nourrissent d'immondices qui alimentent toute une population ignorante et déboussolée. Par ailleurs je ne pense qu'il y ait ce que d'aucuns nomment le 5eme pouvoir qui pourrait correspondre à la 5eme colonne. Ce n'est qu'une nouvelle tête de l'hydre qui nous plombe.
Dans la région des pays de Loire où je vis 12% de la population sont très officiellement analphabètes et combien sont "désalphabètisés"? Aucune autorité politique ne se risque dans le milieu rural encore dans l'hérésie téléthone autre substitut du sentiment de culpabilité et de la croyance en la rédemption.
Il n'est d'identité humaine que dans et par l'altérité, la conscience et le savoir. Hors cela l'Humanité n'a pas d'avenir. Pour ce qui nous concerne le scepticisme est plus qu'un recours, c'est une attitude et pour beaucoup "un mode de pensée". C'est dire où nous allons !
michel-orel rosiu
samedi 6 août 2016
Le grand bazard de l'intercommunalité
L’intercommunalité, nouveau jeu de société !
“Il y a trop de gens qui pensent peu, pour peu
de gens qui pensent trop”.
A ma très agréable surprise: Françoise Sagan.
A tout un chacun dont Monsieur le Président et
autres élus.
(la France en compte plus de 600.000 de toute nature et de tout pédigrée avec ou sans donnée corrigée
(la France en compte plus de 600.000 de toute nature et de tout pédigrée avec ou sans donnée corrigée
Avant tout propos, je ne peux que souhaiter,
de votre part, une bonne intelligence de lecture et de compréhension de cette
lettre qui arrive bien tard, je le regrette. Elle se veut être une réflexion
élargie et lucide sur l’esprit de réforme qui agite les ministères et autres salles de jeux, et pour lesquels le meilleur en chancellerie est le pire en logement. l rarement pour le meilleur et
bien souvent pour le pire, qui secoue,
jusqu’à l’hystérie, les dernières gouvernances du pays et dont le Peuple de France est totalement
absent. J’aurais tant souhaité une exemplarité politique et sociétale en ce qui
concerne la réforme Taubira ridiculisée et insultée, qui n’a pas été menée à son terme réel à
l’opposé de celle, honteuse, sur les retraites qui a revendiqué sa part méprisante de
“sarkozie”.
Point n’est besoin d’être grand clerc pour
interpréter celle qui porte sur les
nouvelles définitions territoriales. Elle est d’un simplisme vulgaire et est appliquée
à la lettre par des exécutants dont beaucoup
sont encore dans l’explication lexicale et l'analyse de texte et risquent fort de le
rester longtemps.
Ce que nous vivons et subissons n’est jamais
que la partie émergée d’une crise systémique logique qui dure et dont les turpitudes deviennent incontrôlables.
D’écrire, les idées s’imposent et se nourrissent les unes des autres, aussi je laisse à la considération de tout un chacun ce
qu’elles portent, en particulier la conscience
que j’ai de ce que nous sommes humainement, de la crainte qui nous hante et
de l’espoir qui nous fuit.
Comme nombre d’élus dont la couleur politique
n’est pas très sensible aux variations saisonnières -elle ne passe pas dans
cette région le cap du rose très fade même par temps clair- il nous
est signifié en termes comptables, l’application manu militari de la réforme
territoriale, à la surprise de tous, qui ne présente d’intérêt que pour ceux
qui l’ont conçue et qui en tireront profit. Hier c’était l’état sarkozien avec
ses affidés et aujourd’hui dans sa singulière proximité, c’est l’état
hollandien avec les mêmes et quelques nouveaux. De l’un à l’autre, le pays se définit suivant les mêmes recettes
politiques, à l’aune de réformes structurelles et économiques appuyées sur une propagande médiatique efficace et
partisane et une manipulation de
l’opinion publique sans référents bien établis mais soumise à toutes les
mouvances réactionnaires auxquelles il convient
d’ajouter quelques épigones socio-quelque chose. La réforme territoriale
selon l’actuelle majorité ne déroge pas à la mise en scène du huis
clos.
Le bulletin annuel municipal du village
où nous vivons, dans un style rédactionnel qui lui appartient, laisse entrevoir des situations surprenantes voire
inquiétantes. L’avenir des zones rurales court le risque de dépendre des "lève tôt"
et des “grandes gueules” et plus sournoisement, des petits arrangements entre amis arrosés de vins de pays. !
Cet éditorial, bien naïvement, révèle un
marché de dupes -hors grandes surfaces-
pour les villages dont la majorité est de très faible représentativité sociétale, sociale et culturelle et dont les populations, à fort conditionnement terrien, baignent encore dans un apolitisme phobiste et une religiosité réduite à ses dogmes.
L’ignorance et l’intolérance ne sont pas une
vue de l’esprit. C’est une réalité violente occultée par le mensonge politique
dont nous devrions savoir où cela mène et qui en profite.
Ainsi le complexe du bi-partisme, “éditorialisé”
à en vomir, situe lisiblement toutes les
complaisances et les compromissions pour imposer une même route à deux voies
que fréquentent indifféremment nombre d’élus bien et mal garés.
Quelle est la nuance entre “ne pas vouloir du mal et vouloir du
bien”. Entre les locataires, d’ hier et ceux d’aujourd’hui,
de la place Beauvau par exemple ?
Les intercommunalités, nouvelle mouture d’un
même système, renvoient à des perversions sourdes et une corruption réadaptée.
N’est-elle pas dans le pays, d’une grande partie de la “classe politique”, son lubrifiant ? Que dire d’une catégorie “socio-professionnalisée”
née de la rue et qui pousse le cynisme, par certains de ses membres, à la
mépriser et à la salir dans les salons
du Luxembourg où ceux de l’Elysée ? Ne sommes-nous pas les dépositaires
bafoués de leur dépendance financière ?
D’aucuns diraient, désabusés mais avec justesse, que les élus vivent
“aux crochets du Peuple” qui en retour adressent une arrogante condescendance.
De Bruxelles à chaque chancellerie, l’Union Européenne est minée par cette pandémie avec ses leaders et non des moindres, qui ont pour beaucoup électoralement, trop nombreux pour tous les citer, le vent en poupe. Le libéralisme et son néo se nourrissent de ce nectar et leurs maîtres affairistes -oligarques en titre- sous tous les cieux, de toutes ses débauches. Qu’en est-il en France, de l’immunité et des privilèges qui mettent en puissance des élus sans tenue ni retenue, sans oublier leurs subordonnés ? Une poignée de parlementaires, qui a ma grande sympathie et mon respect, est à l’origine d’un amendement “contre nature” concernant le régime général des retraites qu’aucun élu choqué n’a souhaité se voir appliqué. Du gouvernement aux députés et sénateurs, cet esprit de corps est remarquable et sert magnifiquement d’ exemple pour la Nation en cette période d’austérité faussement sévère, seule réponse idiote imposée par le FMI pour sauver une Europe spoliatrice des ressources et des personnes, sans souveraineté et cimentée par une monnaie surévaluée et inconsistante. Les hégémonies s’effritent, les monopoles s’effondrent, la planète se repense. Seules les fortunes courent le risque d’un manque de papier pour impression.Mais elles sont déjà dans d'autres recours dont l'or.
Les prétentions occidentales sont sans limite
dans la stupidité et l’impéritie que les
élites patentées alimentent à flot continu. Le crétinisme, en force,
fait loi.
De ce qui précède, croyez-vous la Charente
Poitou et, plus particulièrement, les Deux-Sèvres épargnés ? De la direction régionale à celle des villages,
notables et élus versent dans
l’autosatisfaction béate et la réjouissance avec des opérations de
communication dans les journaux de la Région et du Département où
il n’est que perspectives de bien être et
de bien fondé, initiatives innovantes, évolutions, transformatrices et
prestations actives de type arlésien avec sourires affichés et
“postures”
appropriées. Je suis ravi pour les
photographes et tout autant pour les imprimeurs. Quant aux lecteurs, la farine !....
La présidence, en toute autorité tenait à nous informer “des changements” sans qu'apparaissent clairement désignés et identifiés les tenants et les aboutissants des réformes sur lesquelles les Communautés aient eu à se prononcer d'autant que, en première lecture c’est l’exemple linguistique d’une méprise syntaxique certainement indépendante des intéressés mais dépendante peut être de l’idée qu'ils se font des simples gens dont nous sommes et desquels ils tiennent leur élection et leur poste et qui se trouvent dans l’obligation d’accepter le désagrément –doux euphémisme- de payer les dernières factures d’une administration en cessation d’activité pour services en voie de réforme.
L’appauvrissement réel du pays est entré
depuis plusieurs années dans sa phase active de désocialisation, avec en dot la déculturation,
la désalphabétisation et la dépolitisation déjà bien engagées parmi des
populations de plus en plus vulnérables. Je ne crois pas à une inertie durable
de notre Peuple, mais je crains son
désarroi et sa récupération par les
forces obscures portées par des politiques néfastes et des médias vassalisés.
Les élections municipales arrivent, que faut
il en attendre qui ne soit ni inquiétant et
ni navrant? Quels vont être les
ressources et les financements, à la lumière de la transparence, des nouvelles
structures territoriales qui désengagent l’un et responsabilisent l’autre?
Quels seront les gagnants dans le proche avenir
et quels seront les perdants? La
mauvais réponse est impossible. Quant à cette “foire” qui s’annonce, sera-t-elle publique avec ou sans repas populaire ?
Les rapports entre les citoyens et les pouvoirs locaux sont soumis à disparités et à stupidités, surtout ceux qui concernent les aides bien limitées de sauvegarde, lutte contre la “précarité énergétique”, restauration d’habitat et aide sociale à la personne, entre autres. Les discours et les dispositions se ressemblent avec leur credo, leur personnel bon teint et leurs assignations grotesques dans tous les bulletins officiels agréés mais qu’en est-il, une fois de plus, de la réalité? Je me suis prêté, par nécessité, à diverses sollicitations auprès de certaines administrations régionales et départementales, lors de mon installation, concernant l’intégration matérielle et sociale de ma famille avec ses implications économiques et sociétales. Elles ont été réduites à néant alors que de gros travaux d’isolation sont à réaliser. Notre maison est un atout pour le village. Mon témoignage mériterait attention et vous instruirait certainement. Le misérabilisme et les filiations (copinage) se portent bien. Je vous rappelle que les aides ne sont qu’un retour des finances publiques dont vous et moi sommes les pourvoyeurs. L’aide n’est jamais qu’un “auto-financement”, comme le crédit bancaire à la consommation tiré des intérêts colossaux que rapportent nos revenus. Mais vous savez tout cela et je ne peux en douter!
Le village où nous vivons est gavé de télévision,
de jeux, de préjugés, d’archaïsmes et de somnolence. En clair, il est sans âme
et n’en cherche point. Quant à ses perspectives, outre ce que j’en pense, je
les ignore par la force des choses sans partage. Il ne faut pas perdre de vue que les
rénovations et réorganisations structurelles ne sauraient être le seul fait de son
gérant, de ses compétences et de ses
prérogatives – regroupement scolaire, réaménagement urbain et tout ce qui lui
ressemble. Il n’est que de parcourir les bulletins municipaux
pour savoir que dans chaque village tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et
qu’il n’est d’unique maître à penser que le maire-gérant “élu”. C’est tout dire! Et c’est consternant !
Les villages dans leur grande majorité résument le pays.Vous n'ignorez pas que cette expression "généralisante" s'appelle une subsomption -d'aucuns l'écrivent subsumption- avec le verbe subsumer. Le particulier situé par le tout.
Vous n’ignorez pas que le nouveau s’est construit sur une révision très cadrée des pôles d’intérêts politiques et économiques dont vous êtes nécessairement, au moins administrativement, partie prenante. Pour nombre de ruraux, ouvertement négligés, c’est la brutalité du fait accompli foyer des pires stupidités et injustices.
J’aimerais écrire que la Société Civile
s’éveille et qu’elle se considère enfin
comme une force active et consciente.
Mais les oligarchies veillent avec un exécutif” complice très
compréhensif et des pouvoirs médiatiques pollués à souhait tout en allégeance et soumission.
Ce que nul élu ne peut ignorer, c’est que cette réforme déverse toute sorte de comportements et d’attitudes de personnes et de groupes se prévalant de "postures" influentes et déterminantes.
Les ambitieux
et les opportunistes de tous
calibres se reconnaitront du seul fait qu’ils savent tout, peuvent tout et
veulent tout- dixit mauvais Audiart-.
Je
serais navré que vous m’accordiez, par mauvaise foi, le bénéfice d’une appréciation mal assurée,
voire fantaisiste, quant aux tenants et aboutissants des réformes
gouvernementales, de Sarkozy à Hollande qui de fait participent d’une même
dynamique et d’une même volonté qui hypothèquent le développement réel du pays
en voie de désindustrialisation et plus encore de déstructuration sociale.
Il me semble que la réorganisation territoriale traduit de fait une externalisation calculée des pouvoirs et devoirs de l’Etat et tout autant ceux de la Région et du Département au profit d’instances et de pôles de décision dont les fondations et les stratégies en gestation peuvent s’ouvrir à des intérêts privés. L’avenir nous le dira.
En France, de nos jours, l’Individu ne
s’apprécie que que par défaut. Le courrier intercommunal, sans le dire, le pense et nous prie d’obtempérer. Le reste est à l’avenant.
Pour ce qui est de élus, without
comment , ils n’ont jamais été les malheureux de la
république type thermidorien. C’est celle que nous avons et que nous supportons
Elle ne se meurt pas; elle pourrit.
Que vive la 6eme République Sociale et
Humaniste dans une Europe des Peuples unis et souverains.
C’est ce que je Nous souhaite pour la
nouvelle année.
A vous tous, dont le Président du Thouarsais qui a chassé celui de l'Airvaudais, j'adresse mes sentiments citoyens restaurés. Je demeure visitable et en situation dépoussiérée sans
rendez vous préalable et vous accueillir sera un plaisir.
Je rappelle que ce texte ne se veut pas pas
nominatif. Tous les élus de tout pedigree sont
de fait totalement concernés aussi, je m’empresse de le diffuser pour, si nécessaire, le
commenter.
N’étant pas parlementaire il ne me sera pas
possible de proposer l’engagement politique en terme exclusif de service
publique et de bénévolat. Ce qui permettrait, il me semble, de disposer enfin et sans contre partie du
talent et des idées de tous. Quant aux professionnels et autres carriéristes ,
il y a le pôle emploi. Heures de pointe à éviter.
J’ai cru comprendre -relation de cause à
effet certainement- que le domaine de compétences du SIVU ne concernait plus la
commune de St Jouin.
La situation sanitaire, déjà affectée par le manque de généralistes est lourdement hypothéquée Certainement de nouveaux acteurs et de nouvelles attributions. A quand les informations ?
La situation sanitaire, déjà affectée par le manque de généralistes est lourdement hypothéquée Certainement de nouveaux acteurs et de nouvelles attributions. A quand les informations ?
Quant aux
facturations, elles ont le mérite de la lisibilité dans la simplicité. Tout est
redevance fourre-tout, d’autant que le racket TVA se gonfle de quelques
points. Les “imbéciles et les amorphes”
d’hier sont les “dindons et les pigeons” d’aujourd’hui qui ne cessent de jouer
à “l’autruche”. Tout est fait pour que ces
qualificatifs très sarko-gauliens nous collent à la peau.
La
Démocratie parait-il -la vraie, pas son faux semblant, lave plus propre ?
Je propose de l’essayer.
michel-orel rosiu
"L'ignorance et l'intolérance ne font que renvoyer sans nuance à l'arrogance et plus encore à la violence".
m.o.r apho. 235
vendredi 27 mai 2016
Aphorismes et autres textes. Les uns pour réfléchir et les autres pour dormir. 1ere livraison
Réservoirs à aphorismes |
m.o.r
`Aphorismes par nécessité !
Le dogmatisme est tout ce qui renvoie non à la compétence mais à l’aptitude. Il n'est point besoin de savoir pour pouvoir.
Macron, que pourrais-je en dire qui soit indéfroissable ?
L'homme croit en sa chance.....libérale. Mais que faisait il avec Tenzin Gyatso, qui n'est pas un mafieux tibétain au grand dam des crapules mais pour les idolâtres le dalaï lama, toujours aussi odieux, et qui fut le très protégé de Hitler et de Himmler, tous deux nourris de mysticisme bouddhiste et d'hystérie raciste. Sa réception en France est une honte et une infamie comme le fut la visite de Pinochet à Karol Woytila pape sous le nom de Jean Paul II.
Les relations très actives entre Woytila (dalai lama des catholiques) et Pinochet et Videla ont été des plus naturelles. On a les amis que l'on mérite. Quant à Delanoé, socialiste libéral, il a frappé d'indignité la capitale en osant les baptêmes de place et de rue des noms de Jean Paul II et de Walesa.
Vrai ou faux....
Le radicalisme se nourrit autant des mots que des images. Il n’y a pas d’excès puisqu’il est l’excès.
La philosophie n’est pas plus clairement définie que peut l'être l’objet supposé de ses préoccupations.
Je n’ai pas fait d’études de philosophie. Je pourrais tout autant écrire que je n’ai pas perdu mon temps.
La philosophie me préoccupe moins que l'entomologie. La première se déprécie sur les plateaux de télévision et la seconde tire sa révérence.
En classe de philosophie ordinaire, je m’imaginais deux intellectuels de la Grèce ancienne, l’un les pieds dans l'eau massés par une jeune esclave et l’autre à ses cotés dans une position avantageuse pour saisir la rondeur de ses seins. Et tous deux discourant mollement sur le savoir vivre et l'état du ciel.
La philosophie, c'est l'ordre des choses dans le désordre des choses. Elle n'est pas à lire mais à vivre. Quant à l'écrire ?
La philosophie se nourrit parfois pour ne pas dire souvent d'une complicité sournoise, la bêtise. Ce n'est pas Ferry et Falkenraut, parmi les patentés, qui me contrediront.
Il n'est rien de la vie humaine qui ne soit pas répression. La grande question, quand on se la pose, est de savoir l'intelligence que chacun d'entre nous peut en avoir pour l'adopter et l'adapter.
L'oppression ne concerne que les opprimés de même que la déportation ne s'adresse qu'aux déportés. La philosophie à son aise sait s'imprégner de toutes les rhétoriques.
Le colonialisme le plus pervers, nous sommes dans le pléonasme, c'est toujours développé dans le contexte institutionnel, de l'église à l'école, du dispensaire à la caserne. Outre les dieux et les idoles, tout fut du provenant de l'avenue Montaigne au marché aux Puces, sans oublier le saumur servi dans les oasis près de Ouagadougou ou de Ouarzazat.
Les philosophes sont toujours en situation de confort et bien nourris.
La philosophie est l’expression d’une certaine aisance et l’accomplissement d’un aisance certaine.
La philosophie autorise tous les mouvements même celui de tourner en rond.
Ferry, quelle généalogie ! On massacre bien l'école de la République.
Un ou une philosophe, c'est celle ou celui dont on dit quand il ou elle réfléchit
sur un plateau tiède de télévision, c'est une ou un philosophe avec un risque d'erreur à deux décimales.
La philosophie, c'est tous les jours y compris les nuits. Il y a toujours les néo-cons qui s'imaginent que demain remplacera aujourd'hui.
Les hommes sont incapables d’assumer ce qu’ils ont perdu. Les uns se réfugient dans un souvenir complaisant ou suicidaire, les autres dans l’oubli et le mensonge et d’autres encore, les plus pertinents et les plus nombreux dans la recherche d’une compensation pour ce qui leur reste à vivre.
La grande libéralité est l’amie assurée de l’assistance et de la compassion. Sournoisement elle atteint la famille quand l’un de ses membres est en état de demande et de nécessité. La faiblesse et la vulnérabilité constituent ses terreaux.
La Fédération de Russie a vécu et vit encore un phénomène unique de mutation identitaire du fait même de l'Union Soviétique et de son expérience propre dont l'étude ne fait que commencer.
Cette mutation toute logique et hors norme est en mouvement "à l'insu du plein gré " (appellation contrôlée) de tous les agités occidentaux.
Quand je pense que Hollywood nous roule dans la farine depuis un siècle ! Merci Blumonet !
La musique et moi, rien d'établi, que du naturel !
Annoncez votre maître,
pour que je sache ce que vous allez dire ?
A l’immoralité qui brave les interdits de la moralité, je préfère l’amoralité qui l’ignore.
`Aphorismes par nécessité !
Le
libéralisme, ne renvoie à rien d’autre qu'à l’instinct de l’immédiat et au
dogme de la certitude.
Aphorisme algorithmique. Proposition 1 |
Le dogmatisme est tout ce qui renvoie non à la compétence mais à l’aptitude. Il n'est point besoin de savoir pour pouvoir.
La "dogmatique", guillemets ouverts n'est jamais qu'un succédané de la "casuistique", guillemets fermés, dont se nourrit la "sophistique" guillemets mi-ouverts, mi fermés, très à l'usage dans les clubs de décision et tout autant de dérision.
Comment
en parler, quand il n’y a rien à dire.
Le rêve américain en anglais réaliste tendance sociale démocratie est "american nihgtmare". Dos Passos ne m'aurait pas contredit.
Le rêve américain en anglais réaliste tendance sociale démocratie est "american nihgtmare". Dos Passos ne m'aurait pas contredit.
L’instinct
plus que la raison !
Le
libéralisme et d’autant moins raisonnable qu’il est naturellement instinctif.
Le profit est son boulevard et les dogmes ses trottoirs. N’ est-ce pas là le plus vieux comportement
de l’homme barbare devenu
oligarque ?
La prostitution, en attente de bitume est venue plus tard.
La prostitution, en attente de bitume est venue plus tard.
L’hystérique
peut devenir un chasseur d’hérétiques.
Je
pense très fort et à voix haute que la Fédération Russe et tout ce qui lui
ressemble sur la planète est l’hérétique qui affûte l’hystérie des occidentaux
au risque certain de devenir, sans assurance, “des accidentaux”.
N’avez-vous
jamais assisté à une assemblée générale d’actionnaires ? L’odeur navigue entre
le savon à la rose et le cuir ciré. Il
y manque les filles du Lido, les chevaux de Bartabas et bien entendu les
égéries de la télévision. Je
ne sais si les gros porteurs sont devant la scène et les petits près des
toilettes, ou pour les grandes messes des dividendes, dans les couloirs et
sur le parvis de Notre Dame. Le
plus surprenant, c’est que l’arrière ne fréquente pas le devant à l’exception
toutefois de la période du rut. Les enfants mâles et femelles en fin d’études
ou de rien circulent pour se renifler, se repérer et parfois s’associer à la grande surprise des parents éblouis et
béats. Nombreux sont les déçus et les courroucés.
L’amour,
chez ces gens là, est une source d’inspiration pour le cinéma, un brulot pour les
paparazzi et dans tous les cas, des affaires à suivre pour les banques et la
police des moeurs.
La
vie de famille à défaut d’accomplissement se morfond dans le “ressassé”, le
“rabâché” et surtout le "mal cuit".
La
vie de famille est le chaudron de toutes les hypocrisies. Il suffit d’une
rancoeur pour que se développent les maladies cardio-vasculaires.
Aphorisme d'avant l'aphorisme |
Macron, que pourrais-je en dire qui soit indéfroissable ?
L'homme croit en sa chance.....libérale. Mais que faisait il avec Tenzin Gyatso, qui n'est pas un mafieux tibétain au grand dam des crapules mais pour les idolâtres le dalaï lama, toujours aussi odieux, et qui fut le très protégé de Hitler et de Himmler, tous deux nourris de mysticisme bouddhiste et d'hystérie raciste. Sa réception en France est une honte et une infamie comme le fut la visite de Pinochet à Karol Woytila pape sous le nom de Jean Paul II.
Les relations très actives entre Woytila (dalai lama des catholiques) et Pinochet et Videla ont été des plus naturelles. On a les amis que l'on mérite. Quant à Delanoé, socialiste libéral, il a frappé d'indignité la capitale en osant les baptêmes de place et de rue des noms de Jean Paul II et de Walesa.
Vrai ou faux....
Le
"macron" est une unité de mesure de l’austérité appréciée dans les milieux banquaires?
La
"macronite" est une infection bucco-nasale qui affecte les parlementaires sur le
déclin ?
Le
"macronier" est un arbre d’essence rare
qui prend racine nulle part et ailleurs mais certainement pas ici ?
La
"macrose" est une déficience de l'investissement. Ne pas confondre avec la
macreuse qui fond dans la bouche ?
Le macroland ! En voie d'installation ?
Le macroland ! En voie d'installation ?
La
"macrotte" pour laquelle tous les papiers sont utilisables ?
Il
y a aussi la "macrelle", le "macro", et autre pigeon voyageur.
En quoi fut-il
gênant qu'un notable, député ou sénateur, exprimât, très
professionnellement, le souhait de contrôler le train de vie des smicards
?
Cela lui permit,
au moins, de mieux apprécier le sien.
"Enarchisme et presstitution "
sont à la tête des attributs du social-libéralisme. Le macro-hollandisme peut
s'en réclamer sans honte. D'ailleurs, il ne s'en prive pas !
L'efficacité du mensonge est dans sa
persistance et dans sa durée.
Je ne pense pas le jeu comme
catharsis mais comme compensation et autosatisfaction. Bien que, extérieur à
soi, il se retrouve en soi, non en complicité mais en subordination. L'état
de dépendance est positivement sa triste conséquence. Ce n'est pas Dosto. qui me contredirait !
Le radicalisme se nourrit autant des mots que des images. Il n’y a pas d’excès puisqu’il est l’excès.
La philosophie n’est pas plus clairement définie que peut l'être l’objet supposé de ses préoccupations.
Je n’ai pas fait d’études de philosophie. Je pourrais tout autant écrire que je n’ai pas perdu mon temps.
La philosophie me préoccupe moins que l'entomologie. La première se déprécie sur les plateaux de télévision et la seconde tire sa révérence.
En classe de philosophie ordinaire, je m’imaginais deux intellectuels de la Grèce ancienne, l’un les pieds dans l'eau massés par une jeune esclave et l’autre à ses cotés dans une position avantageuse pour saisir la rondeur de ses seins. Et tous deux discourant mollement sur le savoir vivre et l'état du ciel.
La philosophie, c'est l'ordre des choses dans le désordre des choses. Elle n'est pas à lire mais à vivre. Quant à l'écrire ?
La philosophie se nourrit parfois pour ne pas dire souvent d'une complicité sournoise, la bêtise. Ce n'est pas Ferry et Falkenraut, parmi les patentés, qui me contrediront.
Il n'est rien de la vie humaine qui ne soit pas répression. La grande question, quand on se la pose, est de savoir l'intelligence que chacun d'entre nous peut en avoir pour l'adopter et l'adapter.
L'oppression ne concerne que les opprimés de même que la déportation ne s'adresse qu'aux déportés. La philosophie à son aise sait s'imprégner de toutes les rhétoriques.
Le colonialisme le plus pervers, nous sommes dans le pléonasme, c'est toujours développé dans le contexte institutionnel, de l'église à l'école, du dispensaire à la caserne. Outre les dieux et les idoles, tout fut du provenant de l'avenue Montaigne au marché aux Puces, sans oublier le saumur servi dans les oasis près de Ouagadougou ou de Ouarzazat.
Les philosophes sont toujours en situation de confort et bien nourris.
La philosophie est l’expression d’une certaine aisance et l’accomplissement d’un aisance certaine.
La philosophie autorise tous les mouvements même celui de tourner en rond.
Ferry, quelle généalogie ! On massacre bien l'école de la République.
Un ou une philosophe, c'est celle ou celui dont on dit quand il ou elle réfléchit
sur un plateau tiède de télévision, c'est une ou un philosophe avec un risque d'erreur à deux décimales.
La philosophie, c'est tous les jours y compris les nuits. Il y a toujours les néo-cons qui s'imaginent que demain remplacera aujourd'hui.
Les hommes sont incapables d’assumer ce qu’ils ont perdu. Les uns se réfugient dans un souvenir complaisant ou suicidaire, les autres dans l’oubli et le mensonge et d’autres encore, les plus pertinents et les plus nombreux dans la recherche d’une compensation pour ce qui leur reste à vivre.
La grande libéralité est l’amie assurée de l’assistance et de la compassion. Sournoisement elle atteint la famille quand l’un de ses membres est en état de demande et de nécessité. La faiblesse et la vulnérabilité constituent ses terreaux.
La
libéralité fait commerce de la providence sans après vente.
La providence est providentiellement abusive, mais divinement utile. La laïcité qui ne la reconnait pas, la sait pourtant très opportune.
Et dire que nombre d'établissement très privés et très religieux s'appellent la providence. Que faut-il penser de l'avenir de tous ces enfants "cathéchisés" comme on dit pasteurisés ?
L’avidité dans le registre des tares humaines prédispose à toute sorte d’allégeance et de trahison. La lâcheté n’a pas besoin d’être négociée. Elle est la clef de tous les verrous.
L'avidité chez les bourgeois force toute sorte de revendications. Non pour ne rien perdre de ce qu'ils possèdent mais pour avoir plus de ce qu'ils ne possèdent pas.
Le toujours plus, une règle aliénante pour celui qui n'en a pas assez !
La loi sur le travail illustre bien cette réalité où la transgression se fait régression. Faut-il admettre que le futur est derrière nous ?
Et dire que nombre d'établissement très privés et très religieux s'appellent la providence. Que faut-il penser de l'avenir de tous ces enfants "cathéchisés" comme on dit pasteurisés ?
L’avidité dans le registre des tares humaines prédispose à toute sorte d’allégeance et de trahison. La lâcheté n’a pas besoin d’être négociée. Elle est la clef de tous les verrous.
L'avidité chez les bourgeois force toute sorte de revendications. Non pour ne rien perdre de ce qu'ils possèdent mais pour avoir plus de ce qu'ils ne possèdent pas.
Le toujours plus, une règle aliénante pour celui qui n'en a pas assez !
La loi sur le travail illustre bien cette réalité où la transgression se fait régression. Faut-il admettre que le futur est derrière nous ?
De la bêtise des offices de notation des économies qui ne
sont représentatives d’aucune autorité politique et sociale et dont l’existence
renvoie au charlatanisme très en vogue dans les milieux financiers occidentaux.
Ainsi hier, ce que l’on appelle les fondamentaux étaient les référents de cette notation. La meilleure note allant de fait au pays affichant les meilleurs fondamentaux.
Ainsi hier, ce que l’on appelle les fondamentaux étaient les référents de cette notation. La meilleure note allant de fait au pays affichant les meilleurs fondamentaux.
Je vous laisse le soin de vous instruire pour les
fondamentaux et tout autant pour le classement distribué. Surprise, surprise !
Aphorisme animaliste minimaliste |
La Fédération de Russie a vécu et vit encore un phénomène unique de mutation identitaire du fait même de l'Union Soviétique et de son expérience propre dont l'étude ne fait que commencer.
Cette mutation toute logique et hors norme est en mouvement "à l'insu du plein gré " (appellation contrôlée) de tous les agités occidentaux.
Collins et Nuland ont du fréquenter les mêmes cuisines et
les mêmes toilettes. Sont faits pour les mêmes poubelles mais de couleurs différenciées.
Tout est pour le mieux, le sauvetage est en cours.
L’annexion, bien que difficile, peut être envisagée. L’OTAN et Monsanto sont
sur les rangs. L’Ukraine court le risque d’être vide d’Ukrainiens. 600.000, voire beaucoup plus,
d’entre eux vivent aujourd’hui en Russie. Le Dombass mériterait d’y être
rattaché.
Vite un référendum !
J'ai cru lire dans ma presse que la Crimée était annexée par et à la Fédération Russe et je rajoute du fait d'un référendum très majoritaire à son rattachement.
Est-ce bien mon journal ?
Le mot référendum, en version otanienne, est annexion.
Je me fais toujours très mal à l'idée qu'il y ait toujours des "indécrottables" et en plus par bonus des néo-cons".
"L'indécrottabilité" est une alliance très naturelle entre l'ignorance et la séniliré.
aphorisme urbain |
Le mot référendum, en version otanienne, est annexion.
Je me fais toujours très mal à l'idée qu'il y ait toujours des "indécrottables" et en plus par bonus des néo-cons".
"L'indécrottabilité" est une alliance très naturelle entre l'ignorance et la séniliré.
Otanie, coordonnées B 52 et F 16, au dessus de l’Equateur et d'humeur changeante en dessous de la ceinture.
Actuellement à 22O km est de Kharkov, en russe, et 2733 km
sud-est d’Islamabad en otanien.
Le plus fort n’est pas
celui qu’on croit ! (Langage parlé)
Le plus con non plus !( Langage transcrit)
Un humaniste, d’esprit et d’intelligence, pléonasme, qui
serait sans lucidité ni réalisme - contre pléonasme, est un chat sans queue ou une défaillance
respiratoire par manque d’eau oxygénée.
L’esthétique encore et toujours. Un débat qui n’en finit pas
et qui se gonfle de la bêtise humaine, dont nul ne saurait dire objectivement
si elle est belle ou non. J’ai mon idée,
voir tome 2 page 137.
Tout ce qui n’est pas
objectif, n’est pas par opposition subjectif et inversement.
Mais il ne peut y
avoir un “inversement”.
C’est proprement renversant.
Objectivement la chute, est subjectivement la symbolique de
la chute.
Question pernicieuse: Peut-on évoquer une esthétique de la
chute ?
aphorisme et son double |
Ne nous départageons pas sur l’esthétique et continuons,
dans la sérénité, notre frugal repas !
L’esthétique épuise les ressources intellectuelles plus qu’elle
ne les fortifie. Le sommeil n’y peut rien changer et le repas frugal non plus !
L’épuisement vient de ce que
la question épuise la réponse
Dans le cas de l’esthétique quelle réponse ne serait pas
épuisée ou épuisante ?
Je rappelle que dans les langues océaniennes, Mélanésie et Micronésie, la lettre “q” et le son contracté qui lui correspond transcrit une
occlusive labiovellaire du genre Kw (prononcer koue), ainsi kweca kwela en appuyant sur la dernière syllabe comme
dans banana.
A Vanouatou , il est recommandé de tirer sur le koue en
doublant la syllabe Kououe ce qui donne kwweeca kwweela qui n'est pas le nom d'une princesse maori mais celui d'un détergent conçu à Atlanta à usage universel et vendu en grande surface.
Quand je pense que Hollywood nous roule dans la farine depuis un siècle ! Merci Blumonet !
La musique et moi, rien d'établi, que du naturel !
A l’immoralité qui brave les interdits de la moralité, je préfère l’amoralité qui l’ignore.
Opposées
à la liberté, les moralités sont un
blasphème et un parjure. Que j’aime ces mots de consistoire !
Clin
d’oeil à l’ami Ben Johnson (tiens tiens.....)
La
moralité et la patrie sont du même tonneau. L’une et l’autre sont un refuge pour
la lâcheté et le renoncement. L’une et l’autre sont d’autant plus un déni de
conscience, qu’ouvertement, elles s’en réclament.
Nous
ne sommes pas encore à l’aube de l’Universalité. Tout juste un patriotisme de
clocher mauvais enfant et assassin.
Patriotisme
et citoyenneté, Rousseau est déjà passé par là.
Le
patriotisme, la citoyenneté et la souveraineté constituent le bric à brac
électoral du FN. Le premier est à
chercher à Bruxelles, la seconde se confond dans le saladier européen quant à
la troisième, la perle, ses parents adoptifs sont américano-émiratis depuis
quelques décennies déjà.
Il
n’y a pas de peuple élu, qui le soit au
scrutin proportionnel ou au scrutin majoritaire. Même les “cons” ne passent pas
par le suffrage universel. En ce qui les concerne, point d’artifice mais ils
sont “foule” et point d’apprentissage. Ils sont “self made man or woman”, même
au repos !
L’erreur
grammaticale est de fait dans le langage et dans l’écriture. L'éviter tient à l'intelligence que l'on a des associations lexicales et de leur situation syntaxique.
Ce
qui est impardonnable, ce n’est point la faute, parfois complexe, mais la certitude de la prétention qui
contrarie tout repentir.
Tout
autant que l’ostentation, la paresse toujours en embuscade.
Traducteur
et écrivain (à voir)
“On” dit “pédéger”
comme “on” dit boulanger, et binôme oblige “pédégère” comme “on” dit
ménagère !
Chacun chez soi proclame l’adage ! Et tout sera pour le
mieux. Ce que je n’écris pas, c’est de savoir pour qui .
De la poèsie
La poésie ne parle qu'à celle ou celui qui ose l'écrire.
Pour les autres, elle est un affront !
Nous sommes un et multiple. Nous
sommes soi et les autres.
La poésie le sait mais nombre de
poètes l’ignorent.
Il y a la poésie écrite et la
poésie éditée. Le livre n'assure pas la pérennité de l'oeuvre et pas plus le quotidien de son auteur(e)
J’estime d’autant plus un texte
qu’il enrichit le mien.
Je sais ma faillite et n’ignore
pas ma perte.
Ce n’est pas tant la science des mots mais la singularité de
leur usage dont les registres peuvent ouvrir sur des conséquences
insoupçonnables.
La vie sociale est une mise en
délégation de ce que nous sommes et une perte irréversible de notre
souveraineté.
Vouloir en discuter, c’est
libérer une de ces apories dont on peut s’amuser avant qu’elle ne devienne navrante !
aphorisme tropical |
D’aucuns, par mauvaise plaisanterie, ont défini l’otanien
comme une espèce d’otarie batifolant dans les eaux du Saint Laurent. Ce n’est
pourtant pas les casernements asilaires étasuniens et canadiens qui manquent pour savoir cela. Quel
monde ! Concierge !
Un chat sans queue est un félin, malin, cabotin et
“cloonin”.
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