Réservoirs à aphorismes |
m.o.r
`Aphorismes par nécessité !
Le dogmatisme est tout ce qui renvoie non à la compétence mais à l’aptitude. Il n'est point besoin de savoir pour pouvoir.
Macron, que pourrais-je en dire qui soit indéfroissable ?
L'homme croit en sa chance.....libérale. Mais que faisait il avec Tenzin Gyatso, qui n'est pas un mafieux tibétain au grand dam des crapules mais pour les idolâtres le dalaï lama, toujours aussi odieux, et qui fut le très protégé de Hitler et de Himmler, tous deux nourris de mysticisme bouddhiste et d'hystérie raciste. Sa réception en France est une honte et une infamie comme le fut la visite de Pinochet à Karol Woytila pape sous le nom de Jean Paul II.
Les relations très actives entre Woytila (dalai lama des catholiques) et Pinochet et Videla ont été des plus naturelles. On a les amis que l'on mérite. Quant à Delanoé, socialiste libéral, il a frappé d'indignité la capitale en osant les baptêmes de place et de rue des noms de Jean Paul II et de Walesa.
Vrai ou faux....
Le radicalisme se nourrit autant des mots que des images. Il n’y a pas d’excès puisqu’il est l’excès.
La philosophie n’est pas plus clairement définie que peut l'être l’objet supposé de ses préoccupations.
Je n’ai pas fait d’études de philosophie. Je pourrais tout autant écrire que je n’ai pas perdu mon temps.
La philosophie me préoccupe moins que l'entomologie. La première se déprécie sur les plateaux de télévision et la seconde tire sa révérence.
En classe de philosophie ordinaire, je m’imaginais deux intellectuels de la Grèce ancienne, l’un les pieds dans l'eau massés par une jeune esclave et l’autre à ses cotés dans une position avantageuse pour saisir la rondeur de ses seins. Et tous deux discourant mollement sur le savoir vivre et l'état du ciel.
La philosophie, c'est l'ordre des choses dans le désordre des choses. Elle n'est pas à lire mais à vivre. Quant à l'écrire ?
La philosophie se nourrit parfois pour ne pas dire souvent d'une complicité sournoise, la bêtise. Ce n'est pas Ferry et Falkenraut, parmi les patentés, qui me contrediront.
Il n'est rien de la vie humaine qui ne soit pas répression. La grande question, quand on se la pose, est de savoir l'intelligence que chacun d'entre nous peut en avoir pour l'adopter et l'adapter.
L'oppression ne concerne que les opprimés de même que la déportation ne s'adresse qu'aux déportés. La philosophie à son aise sait s'imprégner de toutes les rhétoriques.
Le colonialisme le plus pervers, nous sommes dans le pléonasme, c'est toujours développé dans le contexte institutionnel, de l'église à l'école, du dispensaire à la caserne. Outre les dieux et les idoles, tout fut du provenant de l'avenue Montaigne au marché aux Puces, sans oublier le saumur servi dans les oasis près de Ouagadougou ou de Ouarzazat.
Les philosophes sont toujours en situation de confort et bien nourris.
La philosophie est l’expression d’une certaine aisance et l’accomplissement d’un aisance certaine.
La philosophie autorise tous les mouvements même celui de tourner en rond.
Ferry, quelle généalogie ! On massacre bien l'école de la République.
Un ou une philosophe, c'est celle ou celui dont on dit quand il ou elle réfléchit
sur un plateau tiède de télévision, c'est une ou un philosophe avec un risque d'erreur à deux décimales.
La philosophie, c'est tous les jours y compris les nuits. Il y a toujours les néo-cons qui s'imaginent que demain remplacera aujourd'hui.
Les hommes sont incapables d’assumer ce qu’ils ont perdu. Les uns se réfugient dans un souvenir complaisant ou suicidaire, les autres dans l’oubli et le mensonge et d’autres encore, les plus pertinents et les plus nombreux dans la recherche d’une compensation pour ce qui leur reste à vivre.
La grande libéralité est l’amie assurée de l’assistance et de la compassion. Sournoisement elle atteint la famille quand l’un de ses membres est en état de demande et de nécessité. La faiblesse et la vulnérabilité constituent ses terreaux.
La Fédération de Russie a vécu et vit encore un phénomène unique de mutation identitaire du fait même de l'Union Soviétique et de son expérience propre dont l'étude ne fait que commencer.
Cette mutation toute logique et hors norme est en mouvement "à l'insu du plein gré " (appellation contrôlée) de tous les agités occidentaux.
Quand je pense que Hollywood nous roule dans la farine depuis un siècle ! Merci Blumonet !
La musique et moi, rien d'établi, que du naturel !
Annoncez votre maître,
pour que je sache ce que vous allez dire ?
A l’immoralité qui brave les interdits de la moralité, je préfère l’amoralité qui l’ignore.
`Aphorismes par nécessité !
Le
libéralisme, ne renvoie à rien d’autre qu'à l’instinct de l’immédiat et au
dogme de la certitude.
Aphorisme algorithmique. Proposition 1 |
Le dogmatisme est tout ce qui renvoie non à la compétence mais à l’aptitude. Il n'est point besoin de savoir pour pouvoir.
La "dogmatique", guillemets ouverts n'est jamais qu'un succédané de la "casuistique", guillemets fermés, dont se nourrit la "sophistique" guillemets mi-ouverts, mi fermés, très à l'usage dans les clubs de décision et tout autant de dérision.
Comment
en parler, quand il n’y a rien à dire.
Le rêve américain en anglais réaliste tendance sociale démocratie est "american nihgtmare". Dos Passos ne m'aurait pas contredit.
Le rêve américain en anglais réaliste tendance sociale démocratie est "american nihgtmare". Dos Passos ne m'aurait pas contredit.
L’instinct
plus que la raison !
Le
libéralisme et d’autant moins raisonnable qu’il est naturellement instinctif.
Le profit est son boulevard et les dogmes ses trottoirs. N’ est-ce pas là le plus vieux comportement
de l’homme barbare devenu
oligarque ?
La prostitution, en attente de bitume est venue plus tard.
La prostitution, en attente de bitume est venue plus tard.
L’hystérique
peut devenir un chasseur d’hérétiques.
Je
pense très fort et à voix haute que la Fédération Russe et tout ce qui lui
ressemble sur la planète est l’hérétique qui affûte l’hystérie des occidentaux
au risque certain de devenir, sans assurance, “des accidentaux”.
N’avez-vous
jamais assisté à une assemblée générale d’actionnaires ? L’odeur navigue entre
le savon à la rose et le cuir ciré. Il
y manque les filles du Lido, les chevaux de Bartabas et bien entendu les
égéries de la télévision. Je
ne sais si les gros porteurs sont devant la scène et les petits près des
toilettes, ou pour les grandes messes des dividendes, dans les couloirs et
sur le parvis de Notre Dame. Le
plus surprenant, c’est que l’arrière ne fréquente pas le devant à l’exception
toutefois de la période du rut. Les enfants mâles et femelles en fin d’études
ou de rien circulent pour se renifler, se repérer et parfois s’associer à la grande surprise des parents éblouis et
béats. Nombreux sont les déçus et les courroucés.
L’amour,
chez ces gens là, est une source d’inspiration pour le cinéma, un brulot pour les
paparazzi et dans tous les cas, des affaires à suivre pour les banques et la
police des moeurs.
La
vie de famille à défaut d’accomplissement se morfond dans le “ressassé”, le
“rabâché” et surtout le "mal cuit".
La
vie de famille est le chaudron de toutes les hypocrisies. Il suffit d’une
rancoeur pour que se développent les maladies cardio-vasculaires.
Aphorisme d'avant l'aphorisme |
Macron, que pourrais-je en dire qui soit indéfroissable ?
L'homme croit en sa chance.....libérale. Mais que faisait il avec Tenzin Gyatso, qui n'est pas un mafieux tibétain au grand dam des crapules mais pour les idolâtres le dalaï lama, toujours aussi odieux, et qui fut le très protégé de Hitler et de Himmler, tous deux nourris de mysticisme bouddhiste et d'hystérie raciste. Sa réception en France est une honte et une infamie comme le fut la visite de Pinochet à Karol Woytila pape sous le nom de Jean Paul II.
Les relations très actives entre Woytila (dalai lama des catholiques) et Pinochet et Videla ont été des plus naturelles. On a les amis que l'on mérite. Quant à Delanoé, socialiste libéral, il a frappé d'indignité la capitale en osant les baptêmes de place et de rue des noms de Jean Paul II et de Walesa.
Vrai ou faux....
Le
"macron" est une unité de mesure de l’austérité appréciée dans les milieux banquaires?
La
"macronite" est une infection bucco-nasale qui affecte les parlementaires sur le
déclin ?
Le
"macronier" est un arbre d’essence rare
qui prend racine nulle part et ailleurs mais certainement pas ici ?
La
"macrose" est une déficience de l'investissement. Ne pas confondre avec la
macreuse qui fond dans la bouche ?
Le macroland ! En voie d'installation ?
Le macroland ! En voie d'installation ?
La
"macrotte" pour laquelle tous les papiers sont utilisables ?
Il
y a aussi la "macrelle", le "macro", et autre pigeon voyageur.
En quoi fut-il
gênant qu'un notable, député ou sénateur, exprimât, très
professionnellement, le souhait de contrôler le train de vie des smicards
?
Cela lui permit,
au moins, de mieux apprécier le sien.
"Enarchisme et presstitution "
sont à la tête des attributs du social-libéralisme. Le macro-hollandisme peut
s'en réclamer sans honte. D'ailleurs, il ne s'en prive pas !
L'efficacité du mensonge est dans sa
persistance et dans sa durée.
Je ne pense pas le jeu comme
catharsis mais comme compensation et autosatisfaction. Bien que, extérieur à
soi, il se retrouve en soi, non en complicité mais en subordination. L'état
de dépendance est positivement sa triste conséquence. Ce n'est pas Dosto. qui me contredirait !
Le radicalisme se nourrit autant des mots que des images. Il n’y a pas d’excès puisqu’il est l’excès.
La philosophie n’est pas plus clairement définie que peut l'être l’objet supposé de ses préoccupations.
Je n’ai pas fait d’études de philosophie. Je pourrais tout autant écrire que je n’ai pas perdu mon temps.
La philosophie me préoccupe moins que l'entomologie. La première se déprécie sur les plateaux de télévision et la seconde tire sa révérence.
En classe de philosophie ordinaire, je m’imaginais deux intellectuels de la Grèce ancienne, l’un les pieds dans l'eau massés par une jeune esclave et l’autre à ses cotés dans une position avantageuse pour saisir la rondeur de ses seins. Et tous deux discourant mollement sur le savoir vivre et l'état du ciel.
La philosophie, c'est l'ordre des choses dans le désordre des choses. Elle n'est pas à lire mais à vivre. Quant à l'écrire ?
La philosophie se nourrit parfois pour ne pas dire souvent d'une complicité sournoise, la bêtise. Ce n'est pas Ferry et Falkenraut, parmi les patentés, qui me contrediront.
Il n'est rien de la vie humaine qui ne soit pas répression. La grande question, quand on se la pose, est de savoir l'intelligence que chacun d'entre nous peut en avoir pour l'adopter et l'adapter.
L'oppression ne concerne que les opprimés de même que la déportation ne s'adresse qu'aux déportés. La philosophie à son aise sait s'imprégner de toutes les rhétoriques.
Le colonialisme le plus pervers, nous sommes dans le pléonasme, c'est toujours développé dans le contexte institutionnel, de l'église à l'école, du dispensaire à la caserne. Outre les dieux et les idoles, tout fut du provenant de l'avenue Montaigne au marché aux Puces, sans oublier le saumur servi dans les oasis près de Ouagadougou ou de Ouarzazat.
Les philosophes sont toujours en situation de confort et bien nourris.
La philosophie est l’expression d’une certaine aisance et l’accomplissement d’un aisance certaine.
La philosophie autorise tous les mouvements même celui de tourner en rond.
Ferry, quelle généalogie ! On massacre bien l'école de la République.
Un ou une philosophe, c'est celle ou celui dont on dit quand il ou elle réfléchit
sur un plateau tiède de télévision, c'est une ou un philosophe avec un risque d'erreur à deux décimales.
La philosophie, c'est tous les jours y compris les nuits. Il y a toujours les néo-cons qui s'imaginent que demain remplacera aujourd'hui.
Les hommes sont incapables d’assumer ce qu’ils ont perdu. Les uns se réfugient dans un souvenir complaisant ou suicidaire, les autres dans l’oubli et le mensonge et d’autres encore, les plus pertinents et les plus nombreux dans la recherche d’une compensation pour ce qui leur reste à vivre.
La grande libéralité est l’amie assurée de l’assistance et de la compassion. Sournoisement elle atteint la famille quand l’un de ses membres est en état de demande et de nécessité. La faiblesse et la vulnérabilité constituent ses terreaux.
La
libéralité fait commerce de la providence sans après vente.
La providence est providentiellement abusive, mais divinement utile. La laïcité qui ne la reconnait pas, la sait pourtant très opportune.
Et dire que nombre d'établissement très privés et très religieux s'appellent la providence. Que faut-il penser de l'avenir de tous ces enfants "cathéchisés" comme on dit pasteurisés ?
L’avidité dans le registre des tares humaines prédispose à toute sorte d’allégeance et de trahison. La lâcheté n’a pas besoin d’être négociée. Elle est la clef de tous les verrous.
L'avidité chez les bourgeois force toute sorte de revendications. Non pour ne rien perdre de ce qu'ils possèdent mais pour avoir plus de ce qu'ils ne possèdent pas.
Le toujours plus, une règle aliénante pour celui qui n'en a pas assez !
La loi sur le travail illustre bien cette réalité où la transgression se fait régression. Faut-il admettre que le futur est derrière nous ?
Et dire que nombre d'établissement très privés et très religieux s'appellent la providence. Que faut-il penser de l'avenir de tous ces enfants "cathéchisés" comme on dit pasteurisés ?
L’avidité dans le registre des tares humaines prédispose à toute sorte d’allégeance et de trahison. La lâcheté n’a pas besoin d’être négociée. Elle est la clef de tous les verrous.
L'avidité chez les bourgeois force toute sorte de revendications. Non pour ne rien perdre de ce qu'ils possèdent mais pour avoir plus de ce qu'ils ne possèdent pas.
Le toujours plus, une règle aliénante pour celui qui n'en a pas assez !
La loi sur le travail illustre bien cette réalité où la transgression se fait régression. Faut-il admettre que le futur est derrière nous ?
De la bêtise des offices de notation des économies qui ne
sont représentatives d’aucune autorité politique et sociale et dont l’existence
renvoie au charlatanisme très en vogue dans les milieux financiers occidentaux.
Ainsi hier, ce que l’on appelle les fondamentaux étaient les référents de cette notation. La meilleure note allant de fait au pays affichant les meilleurs fondamentaux.
Ainsi hier, ce que l’on appelle les fondamentaux étaient les référents de cette notation. La meilleure note allant de fait au pays affichant les meilleurs fondamentaux.
Je vous laisse le soin de vous instruire pour les
fondamentaux et tout autant pour le classement distribué. Surprise, surprise !
Aphorisme animaliste minimaliste |
La Fédération de Russie a vécu et vit encore un phénomène unique de mutation identitaire du fait même de l'Union Soviétique et de son expérience propre dont l'étude ne fait que commencer.
Cette mutation toute logique et hors norme est en mouvement "à l'insu du plein gré " (appellation contrôlée) de tous les agités occidentaux.
Collins et Nuland ont du fréquenter les mêmes cuisines et
les mêmes toilettes. Sont faits pour les mêmes poubelles mais de couleurs différenciées.
Tout est pour le mieux, le sauvetage est en cours.
L’annexion, bien que difficile, peut être envisagée. L’OTAN et Monsanto sont
sur les rangs. L’Ukraine court le risque d’être vide d’Ukrainiens. 600.000, voire beaucoup plus,
d’entre eux vivent aujourd’hui en Russie. Le Dombass mériterait d’y être
rattaché.
Vite un référendum !
J'ai cru lire dans ma presse que la Crimée était annexée par et à la Fédération Russe et je rajoute du fait d'un référendum très majoritaire à son rattachement.
Est-ce bien mon journal ?
Le mot référendum, en version otanienne, est annexion.
Je me fais toujours très mal à l'idée qu'il y ait toujours des "indécrottables" et en plus par bonus des néo-cons".
"L'indécrottabilité" est une alliance très naturelle entre l'ignorance et la séniliré.
aphorisme urbain |
Le mot référendum, en version otanienne, est annexion.
Je me fais toujours très mal à l'idée qu'il y ait toujours des "indécrottables" et en plus par bonus des néo-cons".
"L'indécrottabilité" est une alliance très naturelle entre l'ignorance et la séniliré.
Otanie, coordonnées B 52 et F 16, au dessus de l’Equateur et d'humeur changeante en dessous de la ceinture.
Actuellement à 22O km est de Kharkov, en russe, et 2733 km
sud-est d’Islamabad en otanien.
Le plus fort n’est pas
celui qu’on croit ! (Langage parlé)
Le plus con non plus !( Langage transcrit)
Un humaniste, d’esprit et d’intelligence, pléonasme, qui
serait sans lucidité ni réalisme - contre pléonasme, est un chat sans queue ou une défaillance
respiratoire par manque d’eau oxygénée.
L’esthétique encore et toujours. Un débat qui n’en finit pas
et qui se gonfle de la bêtise humaine, dont nul ne saurait dire objectivement
si elle est belle ou non. J’ai mon idée,
voir tome 2 page 137.
Tout ce qui n’est pas
objectif, n’est pas par opposition subjectif et inversement.
Mais il ne peut y
avoir un “inversement”.
C’est proprement renversant.
Objectivement la chute, est subjectivement la symbolique de
la chute.
Question pernicieuse: Peut-on évoquer une esthétique de la
chute ?
aphorisme et son double |
Ne nous départageons pas sur l’esthétique et continuons,
dans la sérénité, notre frugal repas !
L’esthétique épuise les ressources intellectuelles plus qu’elle
ne les fortifie. Le sommeil n’y peut rien changer et le repas frugal non plus !
L’épuisement vient de ce que
la question épuise la réponse
Dans le cas de l’esthétique quelle réponse ne serait pas
épuisée ou épuisante ?
Je rappelle que dans les langues océaniennes, Mélanésie et Micronésie, la lettre “q” et le son contracté qui lui correspond transcrit une
occlusive labiovellaire du genre Kw (prononcer koue), ainsi kweca kwela en appuyant sur la dernière syllabe comme
dans banana.
A Vanouatou , il est recommandé de tirer sur le koue en
doublant la syllabe Kououe ce qui donne kwweeca kwweela qui n'est pas le nom d'une princesse maori mais celui d'un détergent conçu à Atlanta à usage universel et vendu en grande surface.
Quand je pense que Hollywood nous roule dans la farine depuis un siècle ! Merci Blumonet !
La musique et moi, rien d'établi, que du naturel !
A l’immoralité qui brave les interdits de la moralité, je préfère l’amoralité qui l’ignore.
Opposées
à la liberté, les moralités sont un
blasphème et un parjure. Que j’aime ces mots de consistoire !
Clin
d’oeil à l’ami Ben Johnson (tiens tiens.....)
La
moralité et la patrie sont du même tonneau. L’une et l’autre sont un refuge pour
la lâcheté et le renoncement. L’une et l’autre sont d’autant plus un déni de
conscience, qu’ouvertement, elles s’en réclament.
Nous
ne sommes pas encore à l’aube de l’Universalité. Tout juste un patriotisme de
clocher mauvais enfant et assassin.
Patriotisme
et citoyenneté, Rousseau est déjà passé par là.
Le
patriotisme, la citoyenneté et la souveraineté constituent le bric à brac
électoral du FN. Le premier est à
chercher à Bruxelles, la seconde se confond dans le saladier européen quant à
la troisième, la perle, ses parents adoptifs sont américano-émiratis depuis
quelques décennies déjà.
Il
n’y a pas de peuple élu, qui le soit au
scrutin proportionnel ou au scrutin majoritaire. Même les “cons” ne passent pas
par le suffrage universel. En ce qui les concerne, point d’artifice mais ils
sont “foule” et point d’apprentissage. Ils sont “self made man or woman”, même
au repos !
L’erreur
grammaticale est de fait dans le langage et dans l’écriture. L'éviter tient à l'intelligence que l'on a des associations lexicales et de leur situation syntaxique.
Ce
qui est impardonnable, ce n’est point la faute, parfois complexe, mais la certitude de la prétention qui
contrarie tout repentir.
Tout
autant que l’ostentation, la paresse toujours en embuscade.
Traducteur
et écrivain (à voir)
“On” dit “pédéger”
comme “on” dit boulanger, et binôme oblige “pédégère” comme “on” dit
ménagère !
Chacun chez soi proclame l’adage ! Et tout sera pour le
mieux. Ce que je n’écris pas, c’est de savoir pour qui .
De la poèsie
La poésie ne parle qu'à celle ou celui qui ose l'écrire.
Pour les autres, elle est un affront !
Nous sommes un et multiple. Nous
sommes soi et les autres.
La poésie le sait mais nombre de
poètes l’ignorent.
Il y a la poésie écrite et la
poésie éditée. Le livre n'assure pas la pérennité de l'oeuvre et pas plus le quotidien de son auteur(e)
J’estime d’autant plus un texte
qu’il enrichit le mien.
Je sais ma faillite et n’ignore
pas ma perte.
Ce n’est pas tant la science des mots mais la singularité de
leur usage dont les registres peuvent ouvrir sur des conséquences
insoupçonnables.
La vie sociale est une mise en
délégation de ce que nous sommes et une perte irréversible de notre
souveraineté.
Vouloir en discuter, c’est
libérer une de ces apories dont on peut s’amuser avant qu’elle ne devienne navrante !
aphorisme tropical |
D’aucuns, par mauvaise plaisanterie, ont défini l’otanien
comme une espèce d’otarie batifolant dans les eaux du Saint Laurent. Ce n’est
pourtant pas les casernements asilaires étasuniens et canadiens qui manquent pour savoir cela. Quel
monde ! Concierge !
Un chat sans queue est un félin, malin, cabotin et
“cloonin”.