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"Un commentaire n'a d'intérêt , outre le sujet qu'il aborde,
que par l'intelligence qu'il éveille et la réflexion qu'il suscite"
m.o.r ap. 129
COMMENTAIRE ELARGI.....
J’ai pris connaissance de la singulière, et très originale initiative de Madame Maria Zakharova (1) invitant les lecteurs et autres habitués de l’agence Spoutnik à commenter un évènement politique qui a retenu son attention et d’en saisir autant que faire ce peut les facteurs conjoncturels qui l’ont, parmi d’autres, rendu plus saillant dans l’espace des évènements dont nombre sont du domaine de la spéculation comportementale opérant en terrain politico-social. L’élite dirigeante, qui va de la compétence sociale et par cela politique à la surenchère sociétale où l'oligarchie se montre affairiste, est très représentative d’une hiérarchisation lourde où le crédit des uns et des autres se distribue en amont en allégeance et en aval en autorité. Le gouvernement letton dont la vraie nature est d'une grande lisibilité a, il me semble, bien compris qu’il devait s’affirmer conjoncturellement par rapport à la ligne politique et les exigences de la Communauté Européenne qui l’a accueillie en son sein avec une affection toute atlantique. Cette dépendance est la roue motrice de tout le système conçu à Washington et appliqué à Bruxelles. Les pays baltes sont une pièce maitresse au nord d'une Europe désorientée.
Le retour sur la scène internationale de la Fédération de Russie et la crise énergétique ont plus qu’irrité les relations diplomatiques de la planète. Les occidentaux, dont je ne discuterai pas la maturité politique et intellectuelle, sous l’égide des mêmes parrains, se sont risqués au pire sur tous les terrains d'opérations sensibles. Derrière toute cette agitation guerrière, se trouve la réhabilitation d’une autre époque , celle des blocs. Et derrière cette réhabilitation unilatérale, le recyclage de toutes les dissidences bien payées et bien nourries en une oligarchie rayonnante mafieuse et complotiste à la demande.
La politique très politicienne de Riga baigne dans une eau de petites intrigues à vocation séditieuse où l’hystérie occidentale se satisfait de son intempérance et de son indignité qui ne peut être comparée qu'a celle des putchistes de Kiev.
J'évoque la Lettonie, mais il me parait plus juste de situer la ploutocratie lettone qui joue, aux dépens de la nation, une partition pré-établie qui n'est qu'une menée subversive plus ou moins active et plus ou moins parasite. Dans le cas qui nous intéresse, c’est une revendication contre nature de clan pure et simple avec ses implications haineuses et revanchardes de très basse politique. Messieurs Vajonis et Kuzinskis (1 bis) ont pu connaître et vivre "l'époque soviétique" dont ils ne parlent qu'en termes ineptes d'occupation et d'indemnisation sans prendre la mesure des mots et leur sens. Quelle intention peut participer de ce qui pourrait être un procès de basse inquisition plus complexe à assumer que difficile à supporter? Les "plaignants" sont sur des dérives autoritaires très mal avisées, préludes à des névroses durables. Le dossier à charge, de cette hystérie, qui a pu se "trimbaler"en courrier diplomatique entre Washington et Riga, couvre la période entre 1944 et 1990 soit trois à quatre générations de lettons soviétiques. Cette crétinerie que je souhaiterais inspirée par des tiers, est bien dans l’esprit d’une mauvaise arlequinade intellectuelle, voire morale, qui discrédite plus encore le monde occidental et ses sempiternelles sanctions et que la Lettonie, je la nomme par commodité, revendique lamentablement. Les temps pour elle sont à l’oubli contextuel de son passé soviétique dévertébré et dépossédé de sa réalité, à la complaisance et à la compromission naïves pour tous les référents occidentaux toujours plus contestés et comble du comble à la soumission vassale mise en relief dans nombre d’instituts politico-interventionnistes d’outre atlantique, où la fine fleur européenne, vient se convertir aux dogmes économiques, militaires et alimentaires dont les perspectives sont de plus en plus floues.
La partie lettone, dont je ne perçois toujours pas la représentativité actuelle, à l’exception des blindés et troupes otaniens qui y stationnent, véhicule le passé et le présent et ne cesse de les renvoyer l’un à l’autre pour justifier, fallacieusement, une rupture définitive très favorable au présent qui se définit dans une tourmente que la propagande ne peut plus cacher.
Je ne crois pas à l’exception d’une attitude, ni d’une situation. Le grotesque humain est inépuisable. Par contre, je subodore la malignité des manoeuvres et autres expédients qui s’épuisent, jusqu’à la farce, dans des opérations de propagande dont les scénarii sont dans une indifférenciation navrante. C’est la relation de cause à effet qui est déterminante et les stratégies qui la servent !
Retrouvons notre specimen letton qui n’est qu’un échantillon parmi d'autres.
Les plaignants d’aujourd’hui étaient citoyens soviétiques au même titre qu’ils étaient citoyens lettons. Ce qui signifie que les citoyens lettons d’aujourd’hui portent plainte contre les citoyens soviétiques qu’ils étaient hier. Ce n’est plus un défi pour la réflexion mais une provocation pour la contraindre et l’exaspérer. La disparition de l’Union Soviétique a renvoyé chaque République fédérée chez elle. Certaines, comme le Tadjikistan, la Kirghizie ou le Turkménistan avant la naissance de l’Union, n’existaient tout simplement pas.
Les pays baltes ont toujours entretenu une liaison avec les Russes de l’époque tsariste et ceux de l’Union Soviétique et ont vécu en commun les évènements de la 1ere et de la 2eme GM et leurs monstrueuses conséquences. Leur histoire, souvent conjuguée, n’est pas celle de pays volés et annexés à l’exemple des territoires mexicains absorbés par les Etats Unis ou plus proche de nous, du Kosovo écrasé par les bombes de l’OTAN sanctifiant un martyre de plus.
La Lettonie est historiquement dans un complexe mémoriel vaste et lointain qui l’associe à la Russie. Dans les faits les pays baltes ont rejoint l’URSS sur décision de leur Diète respective en juillet 40 et en mai 44. J’ajoute que cette période soviétique de renouveau national n’a jamais contrarié les soirées arrosées de balzam ni les déjeuners agrémentés de pankukas.
La rhétorique en usage à Washington, invariante et criminogène, n’en finit pas d’attenter à l’histoire en niant, en réécrivant et en fantasmant, aidé en cela par un cinéma omniprésent et propagandiste à souhait. La Lettonie actuelle n’est qu’une émule avec tout le zèle exigé. Les élucubrations de la direction gouvernementale en sont une parfaite illustration. Mais sait-elle où il ne faut pas aller trop loin pour ne pas plonger dans la diffamation facile et pour éviter les affres d’une dérision annoncée politiquement pénalisante ? Nous sommes dans l'anti-chambre du deux poids deux mesures et du double standard qui affectent en profondeur toute probité et toute pertinence. Leur usage est une perversion, il peut être un délit !
Quel gâchis, quelle mascarade ! En français nous avons une expression qui est « amuser la galerie ».
L’évènement en soi reste anecdotique. Il peut plaire aux uns et irriter les autres mais il n’est pas neutre et peut se prévaloir du préjudice et tout autant de la destruction qui lui sont attribués. La réaction de Serguei Lavrov atteste, autant que celle de Maria Zakharova, de la surprise devant une médiocrité déconcertante mais ils n’ignorent pas sa nocivité. Dans bien des cas ce n’est pas le "réfléchi" qui domine mais, ouvertement le « fantasmé ». Au travers de Dilma Roussef n’est-ce pas le BRICS qui est visé et par effet domino la Fédération de Russie ?.
J'ai nommé, dans un grand raccourci les acteurs qui ont sans nul doute aucun poussé les édiles lettones à ranimer la fibre nationaliste sommeillante, afin de mieux occulter leurs subordinations et autres abandons qui en font un pays "librement assujetti". Je rappelle, ici, que les états baltes qui furent implicitement la vitrine de l'Union Soviétique étaient sur des perspectives évolutives bien engagées. La contradiction serait de la plus grande malhonnêteté, mais celle-ci est atteinte depuis des lustres. Présentement les critères géo-stratégiques sont devenus la pierre angulaire d'une filiation à la C.E. sous influence et totalement inféodée et qui donne dans un autisme ouvrant sur une agressivité suicidaire. On pourrait penser que les "revendications" de Riga arrivent à un moment critique de l'évolution économique du pays et que des mesures radicales doivent être prises dont celles de rappeler à son voisin Russe divers "contentieux" du fait, selon ma formulation, de "l'occupation de l'homo-sovieticus stalino-brejnevien" et d'évoquer les indemnités de séjours et les remboursements en bonne et due forme des parcs de stationnement des Jigouli et autres Lada en euros dont le cours semble plus favorable que le dollar déprécié.
Le reste semble défini par un cahier des charges bien exhaustif avec, j'ose l'écrire pour le tenir d'une source presque sûre, les taxations de l'usage de la langue de Tchékov par les buveurs de kvass.
Ce pourrait être la hauteur de vue, à l'étage des toilettes, de ce gouvernement à l'agrément "blinissophobe" et avalisé par les States.
A la mauvaise surprise, aérante, j'ai apporté quelques ajustements qui, je l'espère, ne dépareront pas la sagacité de ce commentaire très diversifié. Je rappelle la riposte de Serguei Lavrov qui a trouvé des mots bien parisiens pour qualifier les membres du cabinet de Raymonds Vajonis dont l'anti-soviétisme de club et sa connexité russophobe sont très compétitifs. Je ne peux que leur conseiller en urgence la lecture active de l'ouvrage de Carlo Cippola sur la stupidité. (2)
Si j'ai évoqué, avec un taux d'erreur que j'espère acceptable, l'état d'esprit de l'éxécutif letton, c'est pour mieux admette le caractère bouffa de cette situation qu'un Goldoni aurait plongée dans les abysses de la bêtise humaine.
Car enfin le (les) plaignant s'adresse à la Fédération de Russie admise comme légataire universelle de l'URSS. Cela ne saurait être validé que par les quatorze autres ex.républiques dont la Lettonie elle-même.
Qu'en est il vraiment ?
Aujourd'hui je suis très soucieux pour le devenir de ces ex.républiques soviétiques que sont les états baltes , la Géorgie et l'Ukraines, absorbées pour certaines, par des turpitudes qui ne sont que des guerres de couleur qui reprennent de la vigueur. A Riga les vannes du révisionnisme et du négationnisme se sont rouvertes et son passé nazi le plus sombre a ressurgi comme à Kiev. Sur cela ma conscience s'éveille et s'active. Les tenants et les aboutissants des décisions gouvernementales lettones pourraient exprimer des déviances et des perversions dont le contrôle pourrait se perdre en ouvrant la voie à toutes les culpabilités et surtout à toutes les culpabilisations. Tous les exemples sud-américains de déstabilisation sont malheureusement parfaitement démonstratifs.
Avec le retour aux affaires des anti-ceci et des pro- cela, ce n'est pas seulement les armées de l'OTAN qui jouent un bien curieux western, mais aussi les restes des légions du mouvement Perkonkrust (3) qui défilent, chaque année sous l'oeil complice des autorités, dans les rues qu'elles ont, il y a soixante douze ans, noyées de sang.
Il suffit que la politique-spectacle fonctionne en situation "in" et "out" (snarouji i vnoutri) pour maintenir une population en marche forcée afin d'imposer de nouveaux référents véhiculés jusqu'à l'overdose par les multinationales polluées et polluantes. Ces repères qui ne soient pas névrotiques et toxiques par essence et qui activent le tourbillon des hystéries russophobes en général et "poutinophobes" en particulier, et qui dans nos pays, toute honte bue, circulent en boucle à longueur de journée. Nous ne sommes plus dans des états de droit politique de raison mais plutôt dans des complexes sociétaux à convulsions politiques. Nous vivons quotidiennement dans la caricature et dans le grotesque.
Le "mentir goebbelsien"ne cessant de perdurer ad nauseam, la propagande encore et toujours s'enivre d'ignominies et de vulgarités indigestes très vite récupérées. La Russie assiégée d'est en ouest et de nord en sud est encore et toujours l'agresseur et les occidentaux les malheureuses victimes. Cette mythification de type pompier pyromane n'est jamais que l'expression d'une paranoïa doublée de narcissisme dont les conséquences sont bien plus qu'une vue de l'esprit. Elle préside à une gouvernance bien définie où la fin justifie tous les moyens. Les guerres actuelles et celles qui se préparent dépassent le cadre géo-stratégique et hégémonique tel qu'il est présenté. C'est tout le système, usé de l'intérieur, qui est en cause, et qui n'a plus de sauvegarde, que ce soit pour l'économie , la défense, l'éducation ou la culture etc..Le comble de l'hystérie ordinaire est que l'OTAN, clone de l'armée étasunienne, dont le budget est à la hausse, dépasse les 700 milliards d'Euros par an pour convenir d'une infériorité de moyens autant conventionnels qu'extra. La Lettonie est de ce coté de la barrière mais peut toujours fournir en personnel de qualité les maisons de confort de la C.E. avec passeport et certificat d'embauche. Pour se maintenir dans les salons libéraux les dirigeants lettons n'ont de ressource que le "révisé et le rabâché " anti juif et anti-communiste" en abusant des récurrences très spéculatives de l'Histoire offerte à toutes les réécritures. Riga dont la souveraineté, comme ses consoeurs, est en poste restante ne peut que se résoudre à devenir, une zone de première incivilité.
Je n'imagine pas l'ONU, dont il y aurait beaucoup à dire de sévère et de justifié, qui a encore son siège à New York, saisie par les jérémiades lettones comme elle le fut, jusqu'à l'obscénité, par Colin Powell avec sa capsule de vitamine B2. Le grotesque de la plainte rend cette démarche peu probable. Les "édiles" de Bruxelles et de Washington qui ont créé le "show-bizz culturo-politico-intellectuel" ne sont dans l'intelligible du réel et du factuel du monde qui leur est périphérique. Elles ne cessent de se prévaloir en omnipotence par prétention et suspicion maladives. En clair, elles ne peuvent admettre de ne plus être LE centre et génèrent des illusions psychotiques bien effectives qui traînent encore sur des cimes de domination néo-coloniale, obsolète à souhait mais toujours criminelle. Le fourvoiement des autorités lettones, qui est au coeur de cette mouvance néo-colonialiste est à la fois explicite comme déni d'historicité et comme activisme belliciste. Le danger pour le "monde occidental", aujourd'hui à la lisière des frontières de la Russie, est précisément dans cette nouvelle proximité qui s'épuise dans un conditionnement plus psychique que militaire. Le sens de la démesure ou "hybrisomanie" a atteint les limites de l'irréversibilité dont la Fédération de Russie assiégée connait les désastreuses conséquences. Mais aujourd'hui elle est en puissance et en pouvoir de les anticiper.
La guerre n'est jamais une issue pour celui qui la porte dans ses flancs. L'OTAN ne se justifie que par le coup d'état et le conflit dont il devrait savoir jusqu'où il ne faut pas aller trop loin.
Pour conclure, j'évoquerai bien modestement, "la dette" inconcevable du règne occidental envers le reste de l'Humanité, de toute l'Humanité, qui porte toujours, au passif et à l'actif, les stigmates de ses appétences vénales et assassines dont Auschwitz-Birkenau , monstrueusement, est moins un symbole qu'un épisode.
Depuis 1492, je n'irai pas en deça, qui signifia le premier génocide des Amerindiens par la soldatesque de Christophe Colomb, le prédestiné. Ces peuples ne connaissaient ni la peste, ni la lèpre. La vie s'était simplement et généreusement établie sans dieu dominant, sans inquisition, ni fusil et ni canon. Que reste-t-il des Arawaks (4), les bons sauvages, qui soit aujourd'hui témoignage pour une justice des peuples de tous les continents qui ont vécu les mêmes folies colonialistes, criminelles alimentées par l' impérialisme de l'occident et dont les USA avec leurs vassaux européens sont l'ultime vestige ?
Des conquistadors espagnols aux einsatzgruppen allemands la liste est longue de cette monstruosité hégémonique qui n'a jamais cessé d'incarner et d'animer la bêtes immonde et ses épigones contre laquelle Brecht (5) en sentinelle nous alarme toujours.
Il est clair que l'Union Soviétique n'est plus là pour répondre aux délires occidentaux dont les guerres, au pluriel, au Moyen Orient en particulier, sont un aveu de faillite d'allure irréversible. L'intervention directe et active de la Fédération de Russie, enfin, prouve qu'il y a un mouvement de fond, comme la forêt de Birnam, , qui renvoie à une réalité non convenue, celle d'une complicité tactique qui se retourne contre elle par double jeu. Les preuves aujourd'hui sont faites que la subversion islamo-machin est d'un tonneau étasunien sans fond qui déverse depuis des lustres un terrorisme planétaire. l'ignominie Sykes-Pïcot (6) colle toujours à la peau des héritiers noyés dans leur catéchisme factieux et colonial. Dans tout cela les pays baltes sont condamnés, momentanément je le souhaite, à n'être que des champs de manoeuvre, je ne suis pas stratège, sans avenir.
J'apporte mon soutien lucide à la politique russe comme j'apporte mon soutien à tous les peuples qui s'opposent au chaos orchestré et entretenu par Washington et Bruxelles et qui doivent bien savoir qu'ils ne pourront sauver leur mobilier.
J'ai une dernière pensée pour les comptables de Riga, si mal embringués sans boulier, sans factures et sans tickets de caisse.
L'invasion "névrotique" de la Fédération de Russie, étant ajournée ad vitam aeternam par les caciques de l'alliance atlantique, les économistes lettons auront tout à loisir pour recycler les hommes et leur ferraille afin de se convertir à un réalisme civilisateur plus viable et plus estimable.
Aux Etats Unis la lucarne "Bernie Sanders" (7) s'est ouverte. Un vague espoir apparait. Pour ce pays d'illusions, de criminalité et de mensonges institutionnalisés, les perspectives doivent être autres que guerrières et impérialistes. Les Etasuniens doivent promouvoir eux mêmes une révolution sociale si longtemps différée et plus que jamais nécessaire.
Quant à la Fédération Russe, elle doit affirmer son identité européenne et extra-européenne tant elle est notre avenir naturel, comme elle est, singularité unique, celui de tous les Orients, moyen, central et extrême dont elle est une composante humaine et civilisatrice forte.
Plus que l'influence c'est la conscience partagée de la planète qu'elle doit avoir et qu'elle doit amplifier.
La Lettonie et ses soeurs se sont lamentablement fourvoyées, mais le soleil se lève toujours à l'Est.
michel-orel rosiu
(1bis) Dirigeants lettons
(1) Porte parole du Gt russe
(2) De la stupidité humaine. C Cippola PUF
(3) Mouvement nazi letton jusqu'en 1944
(4) Peuple amerindien vivant à Cuba exterminé par les espagnols
(5) Epilogue de Arturo Ui de Berthold Brecht
(6) Accord Sykes et Picot 1916 démentèlement de l'empire Ottoman.
(7) Candidat démocrate aux primaires étasuniennes 2016.
etude huile/canvas 1962
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